D’une mélancolie et d’une force visuelle prodigieuse, le nouveau documentaire de la réalisatrice Farahnaz Sharafi mêle archives personnelles et bobines anonymes des quarante-cinq dernières années pour raconter une autre histoire de l’Iran. Dans un régime oppressif, où même le bonheur est devenu criminel, les femmes ont construit un autre monde, leur “planète” intime, dont la force déborde et se déverse progressivement sur la société iranienne. My Stolen Planet est en salles cette semaine, grâce à Contre-jour.
La 1ère édition du festival L’Iran, par-delà les frontières : panorama des cinémas iraniens contemporains, organisée par l'association Iran ciné panorama se tiendra du 27 mai au 31 août à différentes moments et dans différents cinémas franciliens.
D’une mélancolie et d’une force visuelle prodigieuse, le nouveau documentaire de la réalisatrice Farahnaz Sharafi mêle archives personnelles et bobines anonymes des quarante-cinq dernières années pour raconter une autre histoire de l’Iran. Dans un régime oppressif, où même le bonheur est devenu criminel, les femmes ont construit un autre monde, leur “planète” intime, dont la force déborde et se déverse progressivement sur la société iranienne. My Stolen Planet n’a pas encore de date de sortie en France, mais est déjà à découvrir au festival Black Movie de Genève.