La Maison de la Culture du Japon à Paris consacre une rétrospective à Iwai Shunji, réalisateur japonais majeur des trente dernières années et influence cruciale dans la pop-culture asiatique. Retour sur Last Letter, poignante relecture adulte de son chef-d’œuvre de 1995, Love Letter.
La Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) consacre une rétrospective intégrale de la filmographie de Iwai Shunji. Retour sur Love Letter, qui a fait un carton notamment au Japon et en Corée du Sud.
Quelques réflexions sur le cinéma d'Iwai Shunji, son esthétique et ses thématiques. Depuis la fin des années 1980, le réalisateur, scénariste, producteur, compositeur et romancier japonais enchaîne les projets dont certains ont façonné une image du romantisme contemporain, diffus en Asie. C'est aussi un portraitiste de désaxés en lutte avec leurs démons intérieurs, des funambules qui dansent au-dessus du monde extérieur — vide.
À l’occasion du 30e anniversaire de la sortie de Love Letter (1995), une des plus grandes réussites du cinéma indépendant mêlant littérature, pop-culture et shojo manga, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) propose pour la première fois en France une rétrospective de Iwai Shunji du 2 au 12 juillet.
Film de coming of age l'état pur, Frankenfish by the River était à retrouver au Festival Allers-Retours 2025. Nous avons pu nous entretenir avec sa réalisatrice, Chen Yusha, pour qui ce travail cinématographique représente un fragment entier de sa personnalité.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il rend hommage aujourd’hui hommage à l’actrice Nakayama Miho (1970-2024). Partager Suivre