Comme tous les ans, la sélection du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) incluait un documentaire. Cette année, il s'agissait de Voices of the Silenced de Park Soo-nam et Park Maeui sur la mémoire des Zainichi, un film déjà passé par le Festival Jean-Rouch et la Berlinale.
Cette année, le Festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo se déroulera, pour sa 18ème édition, du 23 novembre au 14 décembre, à Paris, à la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) et au Musée Guimet.
Pour conclure en beauté et avec émotion la 17e édition de Kinotayo, la programmation offrait au spectateur la captation d'un concert exceptionnel, celui de Sakamoto Ryuichi, filmé par son fils, peu de temps avant son décès. Un voyage musical et poignant dans la carrière d'un immense compositeur.
Ninomiya Ryutaro était présent au Festival Kinotayo pour présenter son quatrième long métrage : Dreaming in Between, l'histoire fantomatique de Shuhei, directeur adjoint d'un lycée, souffrant de sénilité. L'occasion de s'entretenir avec le réalisateur sur son œuvre et sa vision du cinéma.
A l'occasion de sa présence au Festival Kinotayo et de la découverte en avant-première mondiale de sa nouvelle œuvre, Toxic Daughter, nous avons rencontré le discret mais sulfureux cinéaste nippon, Naito Eisuke.
Direction le Palais de justice avec Winny de Matsumoto Yusaku, projeté au Festival Kinotayo. L'histoire vraie de Kaneko Isamu, créateur d'un logiciel de partage de fichiers de pair à pair poursuivi par les autorités dans les années 2000 pour violation du droit d'auteur. Un film à ne surtout pas télécharger illégalement.