Ishii Teruo réalise avec Les Huit vertus bafouées un objet déviant, psychédélique et délirant, typique de ses productions les plus réussies de cette période. Le ton du film se situe au carrefour de sa célèbre série des Joys of Torture (dont il tira 8 films entre 1968 et 1973) et des objets plus pops et étranges qu’il réalisa après celle-ci comme les excellents Female Yakuza Tale avec la belle Ike Reiko ou encore Blind Woman’s Curse avec la non moins fameuse Kaji Meiko. Par Justin Kwedi.