Flaming Brothers, ou l'archétype parfait du cocktail hongkongais 80's tel qu'on l'aime : pas forcément inventif, mais diablement efficace ! Par Tony F.
La découverte d'un cinéma est parfois une opération périlleuse. Équipé d'une pelle, il faut souvent s'enfoncer profondément au travers les strates cinéphiliques... Et là, tout au fond, dans un endroit où ne brille aucune lumière, l'on fait parfois d'étranges découvertes. Croiser le chemin de La 7ème Malédiction fait cet effet là ! Par Yanick Vanesse.
Aujourd’hui, exit les polars esthétisants aux scénarios parfaitement calibrés, les films de Kung- Fu chorégraphiés au millimètre près ou les grandes fresques historiques ! On va parler d’un genre qui est aussi très en vogue à Hong-Kong : Le fourre-tout/nawak ! Tenez- vous bien, le film du jour, Scared Stiff (alias Hallucinations chez nous) de Lau Kar-wing et produit par Sammo Hung est une perle du genre ! Par Jérémy Coifman.
A l’heure où j’écris ces lignes, le Japon vit la fin du monde, Victor Lopez et Olivier Smach dansent la soca dance à Deauville, et votre humble serviteur continue d’explorer les sorties Metropolitan, pour le meilleur, mais aussi pour le pire. Malheureusement, aujourd’hui est un jour pire comme nous le prouve ce The Postman Fights Back, aka Le Messager de guerre de Ronny Yu. Par Anel Dragic.
Du 26 janvier au 8 février 2001 se déroulait la première édition du “Festival du cinéma chinois en France”, dans quatre villes françaises (Paris, Lyon, Toulouse et Versailles). Comme toujours, East Asia a répondu à l’appel et vous livre son compte-rendu critique. Par Anel Dragic.
Dans sa volonté d’exhumer le patrimoine cinématographique hongkongais dans ce qu’il a de pire et de meilleur, Metropolitan allait bien finir par nous sortir un navet. Et ledit navet de prendre la forme de Witch From Nepal ( Le Sorcier du Népal chez nous) de Ching Siu-Tung, pour venir assommer le spectateur avec un voyage lancinant et totalement vain qui ne dure heureusement qu’une petite heure et demi. Par Anel Dragic.