En attendant The Moon Warriors (1992) de Sammo Hung et Guerres de l'ombre (1990) de Ringo Lam en août, Carlotta poursuit dès le mois de juillet son exploration du cinéma de Hong Kong avec la sortie en Blu-Ray du Moonlight Express (1999) de Daniel Dee dans une copie restaurée. Un film symptomatique de la génération rétrocession qui se marie à merveille avec l'édition conjointe du Bullets Over Summer (1999) de Wilson Yip.
Après une sortie remarquée de son polar noir et crasseux Limbo l’été 2023, le nouveau film du réalisateur Soi Cheang, Mad Fate, est dans nos salles obscures grâce à Carlotta. Partager Suivre
Nous poursuivons notre exploration du Coffret Ultra Collector de Carlotta autour du film culte d’Oshima Nagisa, L’Empire des sens, avec La Véritable histoire d'Abe Sada, réalisé par Noboru Tanaka en 1975, diamant noir qui revisite le même fait divers qui inspira L'Empire des sens à Oshima.Film par Justin Kwedi ; Bonus par Elie Gardel.
Nous poursuivons notre exploration du Coffret Ultra Collector de Carlotta autour du film culte d’Oshima Nagisa, L’Empire des sens, avec son second film réalisé en partenariat avec le producteur français Anatole Dauman, L’Empire de la passion, sorti initialement en 1978.
Carlotta met le cinéma d'Oshima Nagisa à l'honneur avec la sortie d'un Coffret Ultra Collector 4K UHD regroupant L'Empire des sens, avec sa seconde production franco-japonaise auprès d'Argos Films, L'Empire de la passion et La Véritable histoire d'Abe Sada, film de Tanaka Noboru sur le fait divers à l'origine de L'Empire des sens. Nous avons profité de l'occasion pour nous repencher sur L'Empire des sens, film culte du réalisateur japonais, sorti initialement en 1976. Film par Fabien Alloin ; Bonus par Elie Gardel.
Après un cycle Stanley Kwan et avant la ressortie en salle de Nomad de Patrick Tam, Carlotta poursuit son exploration du cinéma d'Asie du Nord-Est, en délaissant les romances hongkongaises pour proposer la sortie pour la première en BR d'un fleuron du film de sabre taïwanais, le méconnu La Vengeance du dragon noir (1968). Phénomène en queue de comète d'une industrie mise sous la coupe du pouvoir de Chiang Kaï-shek dans les années 50, ce wu xia pian de Joseph Kuo (33 ans) témoigne de la faculté du Taïwan d'alors de se nourrir des esthétiques occidentales, plus encore que ses homologues japonais ou sud-coréens. Mais en quoi cet incunable d'un cinéma taïwanais alors émergent n'est pas un film de sabre de plus ? L'édition vidéo de sa version restaurée (complété de suppléments d'appoint), permet de voir ce qu’il en est, 56 ans après.