Lors de la 19ème édition du Festival International des Cinémas d'Asie (FICA) a été projeté en avant-première mondiale le documentaire Where I Go du cinéaste cambodgien Kavich Neang. Oeuvre qui transpire la sincérité, Davy Chou (Le Sommeil d'or) et Kavich Neang font partie de la relève du cinéma cambodgien avec Rithy Panh comme figure emblématique. Interview fleuve avec le cinéaste. Par Julien Thialon.
C'est avec plaisir que nous allons à la rencontre de Davy Chou, réalisateur du magnifique Sommeil d'or, en salles le 19 septembre. Depuis sa découverte à Paris Cinema (lire ici), les images du documentaire sur l'âge d'or du cinéma cambodgien (1960-1975) ne nous ont en effet pas quité, et nous avions pléthore de question à poser à son auteur, qui nous reçoit tout souriant deux jours avant la sortie de son premier long-métrage. Plus d'une heure et demi plus tard, la rencontre s'achève sur un débat concernant La jeune Fille de l'eau de Shyamalan, venant conclure un échange passionant dans lequel l'amour du jeune cinéaste pour le cinéma et son sujet transparait à chaque phrase. On ressort heureux de cette belle rencontre, avec une envie : revoir Le Sommeil d'or, sûr d'en percer encore un peu mieux les secrets après cet entretien. Interview par Victor Lopez, photos et retranscription par Julien Thialon.
Présenté en avant-première à Paris Cinéma, Le Sommeil d'or de Davy Chou sort en salles le 19 septembre 2012. On ne peut que saluer sa présentation sur grand écran tant le film est à la fois un émouvant documentaire sur une cinématographie perdue (celle du Cambodge des années 60 à 75) et une belle œuvre de cinéma. Par Victor Lopez.
Eastasia et Bodega Films vous offrent des posters et des cartes postales du Sommeil d’or de Davy Chou, en salles le 19/09/2012. Pour gagner rien de plus simple !
Présenté en avant-première à Paris Cinéma, Le Sommeil d'or de Davy Chou sort en salles le 19 septembre 2012. On ne peut que saluer sa présentation sur grand écran, tant le film est à la fois un émouvant documentaire sur une cinématographie perdue (celle du Cambodge des années 60 à 75) et une belle œuvre de cinéma. Par Victor Lopez.
Poursuivant son travail de mémoire sur le génocide cambodgien, Rithy Panh donne dans Duch, le maître des forges de l'enfer, la parole au bourreau, comme un passionnant et fascinant contrechamp au travail qu'il entreprend depuis plus de vingt ans. Par Victor Lopez.