Lorsque l’on évoque le cinéma asiatique, on pense immédiatement à des pays incontournables comme le Japon, la Chine, la Corée du Sud, entre autres. Pourtant il est un pays qui se montre plus discret mais qui n’a pas à rougir de son arrivée sur le marché, ce pays c’est le Kazakhstan. Et parmi ses plus brillant réalisateurs, se trouve Adilkhan Yerzhanov, cinéaste qui écume les festivals depuis plus de dix ans maintenant. Son dernier long-métrage, A Dark, Dark Man, projeté en compétition à L'Etrange Festival 2020, est une passionnante démonstration de savoir-faire et de mise en scène, doublée d’un portrait acerbe de la société.
On redoutait son annulation mais, finalement, l'édition 2020 de L'Etrange Festival se déroulera bien, du 2 au 13 septembre, au Forum des images. Zoom sur la jolie sélection asiatique !
Le cinéaste kazakh Adilkhan Yerzhanov s'est fait remarquer en 2018 avec la sortie dans nos salles de La Tendre indifférence du monde. Fraîchement paru en DVD début 2020, l'éditeur Arizona Distribution nous gratifie en bonus de l'un de ses précédents films : The Owners, présenté à Cannes en 2014.
La 26e édition du Festival International des Cinémas d'Asie (FICA) de Vesoul s'est clôturée le 18 février. Place au palmarès !
Le FICA a sélectionné, dans sa belle catégorie des Visages des cinémas d'Asie contemporains, le film kazakh Mariam. Bien que la présence du cinéma kazakh soit discrète sur la scène international, elle commence tout doucement à s'imposer, grâce a des réalisateurs comme Adilkhan Yerzhanov et donc Sharipa Urazbayeva et son Mariam, un délicat et touchant portrait de femme.
Lorsque l'on évoque le cinéma asiatique, on pense immédiatement à des pays incontournables comme le Japon, la Chine, la Corée du Sud, entre autres. Pourtant il est un pays qui se montre plus discret mais qui n'a pas à rougir de son arrivée sur le marché, ce pays c'est le Kazakhstan. Et parmi ses plus brillant réalisateurs, se trouve Adilkhan Yerzhanov, cinéaste qui écume les festivals depuis plus de dix ans maintenant. Son dernier long-métrage, A Dark-Dark Man, projeté en avant-première au Festival Black Movie, est une passionnante démonstration de savoir-faire et de mise en scène, doublée d'un portrait acerbe de la société.