| Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Elvire Rémand | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
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Avant que nous disparaissions (L'Étrange Festival 2017)
Kurosawa Kiyoshi |
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« Kurosawa livre ici un film faussement léger tout en mêlant les genres avec brio comme à son habitude. On a néanmoins connu plus brillant dans sa filmographie. »
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« Un drôle de film qui synthétise (parfois de manière assez forcée) les courants les plus souterrains du cinéma de Kurosawa en les liant dans une intrigue de S.-F. politique foisonnante. »
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The Villainess (L'Étrange Festival 2017)
Jeong Byeong-Gil |
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« Techniquement impressionnant, le film souffre d'un manque cruel de scénario et d'un montage bancal. Film usant... »
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« C'est n'importe quoi et paresseux narrativement mais l'originalité et l'énergie des très nombreuses scènes d'actions suffisent à capter l'attention. »
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A Day (L'Étrange Festival 2017)
Cho Sun-Ho |
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« Un blockbuster coréen : carré, efficace, bien mené. Mais ça manque d'âme et de folie tout ça. C'est un peu fade. »
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« Moralisateur et lacrymal, A Day ne tient pas les promesses de son pitch et ne livre qu'un polar milieux de plus. »
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Meatball Machine Kodoku (L'Étrange Festival 2017)
Nishimura Yoshihiro |
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Tokyo Vampire Hotel - Version cinéma (L'Étrange Festival 2017)
Sono Sion |
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« Des idées de génie, des décors de fou mais un montage tellement foutraque qu'il devient difficile de tenir devant ces 2h20 de "non-film". »
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« Plus un mash-up bordélique et mal-foutu de la série télé Amazon qu'un film, Tokyo Vampire Hotel version ciné n'en reste pas moins traversé d'une idée par scène, de tableaux saisissants et de visions marquantes. »
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30 years of Adonis (L'Étrange Festival 2017)
Scud Cheng |
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Purgatoryo (L'Étrange Festival 2017)
Roderick Cabrido |
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« Le purgatoire vu par les Philippines, ça donne vraiment, mais alors, vraiment pas envie. »
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Mon Mon Mon Monsters! (L'Étrange Festival 2017)
Giddens Ko |
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« Pas mal de longueurs et un jeu d'acteur pas toujours très convainquant. Il n'empêche qu'on passe plutôt un bon moment devant ce film vénère ! »
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Dans un recoin de ce monde (en salles le 06/09/2017)
Katabuchi Sunao |
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« Raconter l'Histoire par la petite porte, en suivant le quotidien de familles impactées par les catastrophe mais se battant pour continuer à vivre normalement, et cela, tout en poésie, c'est aussi ça le cinéma. »
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« Poignant et poétique. »
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Nés en Chine (en salles le 23/08/2017)
Lu Chuan |
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« Grand écart pour Lu Chuan qui suit à la lettre les demandes de Disney Nature. Notre âme d'enfant ne peut être que sous le charme de ces familles de pandas, panthères de neiges et de singes dorés. Ils sont tous à croquer et l'anthropomorphisme poussé à l'extrême n'aide pas. Qui plus est, la réalisation et le montage sont de bonne facture. »
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Lumières d'été (en salles le 16/08/2017)
Jean-Gabriel Périot |
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« Le devoir de mémoire dans son versant lumineux comme douloureux. Le traumatisme d'Hiroshima dans sa description crue laisse place à la joie paisible de ce qui a survécu. Envoûtant de bout en bout. »
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Lou et l'île aux Sirènes (en salles le 30/08/2017)
Masaaki Yuasa |
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« Un postulat convenu au premier abord qui pourra évoquer Ponyo de Miyazaki, mais totalement transcendé par l'énergie, l'argument musical bien amené ainsi que l'inventivité formelle de l'ensemble. »
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« C'est choupi, frais, coloré et complètement psychédélique ! »
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« Quelques fulgurances graphiques qui n'arrivent pas à masquer le caractère convenu de l'ensemble. »
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Death Note (Netflix)
Adam Wingard |
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« Les scènes gore sont marrantes mais n'ont rien à voir avec le manga. En fait, le film n'a rien à voir avec Death Note. Une adaptation ni faite ni à faire. Et un film tout juste passable. »
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« Ni une bonne adaptation ni un mauvais film (ou l'inverse) : un téléfilm lambda pour les dimanches après-midi. »
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Office (en salles le 09/08/2017)
Johnnie To |
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« Rien de nouveau à dire sur le capitalisme et l'impitoyable monde de la finance mais l’étourdissant dispositif formel emporte tout. »
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« Mise en scène et décors simplement déments, l'aspect comédie musicale est moins bien réussi. On est loin de La La Land. Quoiqu'il en soit, on passe un très bon moment devant ce "petit" Johnnie To. »
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« Virtuose d'un point de vue de la mise en scène, bancale d'un point de vue narratif, Office est une comédie musicale en 3D sur le monde de la finance réalisée par Johnnie To : rien que pour ça, il faut courir la voir en salles ! »
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Hirune Hime, Rêves éveillés (en salles le 12/07/2017)
Kamiyama Kenji |
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I Am Not Madame Bovary (en salles le 05/07/2017)
Feng Xiaogang |
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« Un beauté plastique et un jeu de cadrage impressionnants. Fan Bingbing interprète magnifiquement ce rôle de femme forte. Et pourtant, la mayonnaise ne prend pas... »
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« Les distributeurs internationaux n'ont certainement jamais lu Flaubert, mais ont bien raison de mettre en avant ce drame fort à l'humour absurde porté par un jeu sur les cadrages incroyables de beauté. »
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Entre deux rives (en salles le 05/07/2017)
Kim Ki-duk |
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« De la réflexion, Kim Ki-duk en a toujours eu. Surtout en frappant là où ça fait mal. Mais le manque de budget est flagrant et il ne parvient pas à dépasser cette difficulté. On dirait un téléfilm des années 90. Ca fait bobo à la rétine. »
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Okja (Netflix)
Bong Joon-ho |
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« Un peu le cul entre deux chaises, Okja reste un divertissement bien fait (merci Darius Khondji). Mais ça reste très anecdotique. Vivement le retour de Bong Joon-ho en Corée. »
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« Un gentil conte qui va faire plaisir aux amis des animaux, mais dont les fulgurances enthousiasmantes dans l'action et les poursuites ne font pas complètement oublier les ratés un peu kitsch. On n'osera pas dire que c'est bébête... »
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Sans pitié (En salles le 28/06/2017)
Byun Sung-hyun |
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« Mise en scène nickel et acteurs impliqués. De ce côté-là, rien à redire. Mais ça reste un peu longuet par moment et la réalisation ultra-référencée ne joue pas à l'avantage du film. »
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« Exécution impeccable (dans tous les sens), mais vraiment rien de neuf... »
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Creepy (en salles le 14/06/2017)
Kurosawa Kiyoshi |
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« Un thriller glaçant où Kurosawa offre une variante virtuose de "Cure". »
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« Totalement WTF, Creepy renoue avec les premières amours de Kurosawa. Un méchant ultra méchant et incroyable qui fait tenir tout le film. »
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« Un peu théorique, pas toujours parfait au niveau de l'écriture, et d'une précision hallucinante dans la mise en scène, Creepy n'est peut-être pas un grand film, mais prouve que Kurosawa est un grand cinéaste. »
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- : très bon
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: chef-d'Oeuvre
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