| Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Elvire Rémand | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
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Yurigokoro (Kinotayo 2019)
Kamazawa Naoto |
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« Un héroïne sacrément torturée portant un récit intriguant qui se perd dans une dernière demi heure superflue car trop explicative et larmoyante. Dommage. »
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« Plus on avance dans le film, plus il perd d'intérêt à force d'une intrigue de plus en plus ridicule (qui n'assume jamais son côté grotesque). Et le début était déjà loin d'être génial... »
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Killing (Kinotayo 2019)
Tsukamoto Shinya |
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« Un film de chambara à la sauce Tsukamoto, et sans budget, c'est toujours détonnant. Il y a des moments de grâce dans ce film, mais aussi des flottements dus à des personnages parfois trop peu incarnés. »
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« Shin'ya Tsukamoto revient avec un genre résolument classique mais résolu à crever l'écran à travers un film tout sauf classique. Tout comme les cinéastes du Nouvel Hollywood en leur temps, et avec seulement 1h30, Tsukamoto portrait la violence de sa société. »
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« Malgré quelques scènes moins inspirées et une utilisation discutable du numérique, Shinya Tsukamoto livre un chambara hypnotique et fascinant, s'appropriant pleinement le genre en l'inscrivant dans son univers obsessionnel. »
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Inland Sea (Kinotayo 2019)
Soda Kazuhiro |
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« Soda filme toujours avec la même bienveillance ces "petits vieux" (et les chats). On ne peut que s'attacher à ces personnages parfois fantasques. Cependant, la 2e partie a tendance à radoter... »
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« Au delà de la chronique sociale, Soda observe un Japon imamurien immobilisé dans une capsule temporelle dont il arrive à capturer la fragile et dernière persistance. »
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Ne coupez pas ! (Kinotayo 2019)
Ueda Shin'ichirô |
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« Ode aux petites mains et au système D du cinéma, touchant, inventif et surtout d'une drôlerie irrésistible. »
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« Une déclaration d'amour au cinéma, sans moyen mais hyper malin. Donc ça marche ! »
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« Rien de révolutionnaire, mais plutôt malin et amusant. »
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An Elephant Sitting Still (en salles le 09/01/2019)
Hu Bo |
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« 4h d'une fresque qui font entrer Hu Bo au panthéon des plus grands cinéastes de notre ère. Une œuvre testament, très majoritairement portée par un souffle dépressif incroyable, mais pour peu qu'on regarde dans les interstices, non sans lumière. »
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« À la fois d'une belle intensité narrative et d'un réalisme presque vaporeux. On ne peut que regretter la disparition d'un cinéma aussi prometteur.... »
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Asako I&II (en salles le 02/01/2019)
Hamaguchi Ryusuke |
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« On retrouve la capture du quotidien croisée à un astucieux romanesque déjà apprécié dans Senses, tournant cette fois autour de l'inachevé et l'obsession amoureuse. La claque de ce début 2019. »
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« Un film qui laisse parfois perplexe. Une mise en scène brillante, mais un rythme perturbant et une héroïne qui a du mal à se construire au fil du récit alors que c'est bien le sujet du film. »
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« Un film ambivalent traversé par de belles idées, mais parfois à la limite d'une insignifiance calquée sur son héroïne. On peut préférer Asako I à Asako II (ou l'inverse). »
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Never-ending Man : Hayao Miyazaki (en salles le 02/01/2019)
Arakawa Kaku |
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« Un documentaire touchant sur Miyazaki, ses envies, ses fêlures et ses doutes. Malheureusement, la forme est bien trop peu travaillée pour rester dans les annales. »
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« Un propos et un sujet passionnant auquel la forme du reportage télévisuel n'est pas vraiment à la hauteur. »
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Miraï, ma petite soeur (en salles le 26/12/2018)
Hosoda Mamoru |
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« Hosoda observe avec inventivité et tendresse les sentiments à vifs de la petite enfance. »
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« Le nouveau film de Hosoda n'est pas qu'une énième histoire de famille ; il est beaucoup plus. Inventif, touchant, naviguant dans des univers parallèles, Hosoda parvient, par une tranche de vie montrée à l'écran, à saisir des problématiques universelles, qu'on ait l'âge de 4 ans, comme le petit héros, ou non. »
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« Une merveille dans la veine plus intimiste d'Hosoda. »
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Grass (en salles le 19/12/2019)
Hong Sang-soo |
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« La petite musique habituelle d'Hong Sang-Soo, pas désagréable mais qui laisse un peu de côté pour cette fois.
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« HSS innove (un peu) et ça fait du bien. Mais le film demeure insignifiant et rapidement oublié.
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« Voir l'avis de Marc, tout pareil !
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Une affaire de famille (en salles le 12/12/2018)
Kore-eda Hirokazu |
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« Un film somme des questionnements sociaux et sociétaux du réalisateur qui se réinvente néanmoins en ajoutant à sa veine sensible une truculence rappelant le meilleur de la comédie italienne. »
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« Kore-eda a, une fois de plus, tout compris au cinéma. Il émeut, fait rire et tire des conclusions de cette histoire de famille recomposée, sans jamais apporter de jugement moral. »
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« Un sommet incontestable dans la filmographie de Kore-Eda, débordant d’amour et d’émotion. Une palme d’or amplement méritée. »
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« Après la digression The Third Murder, Kore-eda revient aux territoires connus déjà arpentés dans Nobody Knows et Tel père tel fils. On est en droit de trouver la maîtrise parfaite de cette Palme d'or moins incisive que le premier et moins touchante que le second. »
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Voyage à Yoshino (en salles le 28/11/2018)
Naomi Kawase |
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« Un joli livre d'images. Que la montagne est belle... »
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« La guide du voyage commence à ressasser le même parcours depuis une bonne dizaine d'année. On a le droit de commencer à se lasser un peu... »
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The Mumbai Murders (en salles le 21/11/2018)
Anurag Kashyap |
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« Anurag Kashyap reste un peu le cul entre deux chaises dans ce film. On est loin du film survolté auquel on pouvait s'attendre. Reste la bande son, prenante, et l'acteur principal, très convaincant.
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« Un retour en petite forme pour Kashyap, avec un film aussi décousu que cousu du fil blanc, où l'on sauve quand même une excellente performance de Nawazuddin Siddiqui.
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After My Death (en salles le 21/11/2018)
Yu Young-sik |
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« Sujet intéressant et interprétation intense qui se perdent dans un nihilisme creux et vain. »
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« Film inutilement compliqué, qui en fait trop et en met de partout sans forcément développer les thématiques abordées. »
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« Le film devient intéressant quand le titre commence à tenir ses promesses... à 30 minutes de la fin. »
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The Spy Gone North (en salles le 07/11/2018)
Yoon Jong-bin |
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« Captivant film d'espionnage explorant les rapports complexes et ambigus entre les deux Corées. Un des grands films de l'année. »
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« Un film d'espionnage comme on en voit que trop rarement. Une réalisation au poil, un rythme qui prend son temps sans créer de moments creux, des acteurs habités. Encore une fois, la valeur sûre nous vient de Corée !
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« Bons points pour la beauté formelle, le duo d’acteurs et le sujet plutôt bien traité. 2 de perdus pour le rythme leeent, qui peut faire décrocher à plusieurs moments (petit ventre mou en milieu de métrage). »
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« La tradition de qualité : une certaine tendance du cinéma coréen... »
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Sunset in My Hometown (FFCP 2018)
Lee Joon-ik |
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« On a perdu Lee Joon-ik... »
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« Lee Joon-ik filme une émission qui s'appelle "Show Me The Money" : c'est ce qu'il a dû dire à la production en acceptant ce projet... »
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The Spy Gone North (FFCP 2018)
Yoon Jong-bin |
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« Un film d'espionnage comme on en voit que trop rarement. Une réalisation au poil, un rythme qui prend son temps sans créer de moments creux, des acteurs habités. Encore une fois, la valeur sûre nous vient de Corée ! »
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Microhabitat (FFCP 2018)
Jeong Go-woon |
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« Une magnifique errance autour de jeunes adultes coréens sans repères, où les plus apaisés et bienveillants ne sont pas les plus nantis. Mention particulière à la magnifique interprète principale, toute en empathie. »
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« Un 1er film qui secoue le spectateur tant par sa maîtrise formelle que par les tons utilisés (on passe du rire à la mélancolie). Miso, le personnage principal, est une femme forte qui suit son chemin malgré le regard critiques de ses congénères, contre vents et marées. Réalisatrice à suivre de très près. »
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« Un petit film jarmushien qui arrive à bien saisir l'air du temps. »
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Park Hwa-young (FFCP 2018)
Lee Hwan |
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A Haunting Hitchhike (FFCP 2018)
Jeong Hee-jae |
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« Un beau drame, poignant, sans pathos ni mélo qui manie les ruptures de tons avec subtilité. »
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Little Forest (FFCP 2018)
Yim Soon-rye |
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« Une touche de Kore-eda dans un film toujours juste dans le traitement des émotions. Aucun pathos ni mélo et pourtant, de l'émotion ! »
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