Si la boîte de production Sushi Typhoon a surpris son monde il y a quelques années en nous faisant découvrir ses pellicules complètement folles, c'est à présent un nom bien connu des amateurs de films à part. Deux réalisateurs, en particulier, se sont fait connaître grâce à eux. Tandis que Noboru Iguchi est parti réaliser des films hors de leur giron, gardant l'esprit fou et la liberté créatrice totale à travers des films aux titres aussi évocateurs que RoboGeisha, Zombie Ass, Toilet Of The Dead ou encore Dead Sushis, Nishimura Yoshihiro, toujours sous la bannière Sushi Typhoon, nous offre aujourd'hui Helldriver, distribué en France grâce à Elephant Film. Par Yannik Vanesse.
Heiward Mak a seulement 25 ans en 2009 quand elle réalise High Noon, sur les traces de sept adolescents d’un lycée à Hong Kong. La caméra, frénétique, à l’instar des sujets qu’elle reprend, présente leur monde au rythme d’un clip musical avec beaucoup d’effets spéciaux. Dans l’envie de tout dire et souvent de choquer le spectateur, l'histoire se déploie à grande vitesse, plutôt en croquis qu’en portrait détaillé.
Pour prolonger notre retour sur la production indienne de 2011, East Asia vous propose une sélection de 10 films qui ont marqué de leur empreinte, voire de leur superbe, le cinéma en 2011, et un petit aperçu de ce que l'on peut trouver en 2012. Par Marjolaine Gout.
Aujourd’hui sort dans nos rayons DVD Far Away, superproduction coréenne plongeant le spectateur dans le bruit et la fureur de la seconde guerre mondiale. Tiré d’une histoire vraie et réalisé par Kang Je-Kyu, déjà derrière Frères de Sang et Shiri. Par Jérémy Coifman
Disparu des écrans français depuis Vengeance sorti chez nous en mai 2009, Johnnie To revient enfin avec La Vie sans principe (zappant au passage Don't Go Breaking My Heart... on a l'habitude avec les romances du réalisateur), dans lequel il s'attaque à la crise. Par Anel Dragic.
Disparu des écrans français depuis Vengeance sorti chez nous en mai 2009, Johnnie To revient enfin avec La Vie sans principe (zappant au passage Don't Go Breaking My Heart... on à l'habitude avec les romances du réalisateur), dans lequel il s'attaque à la crise. Par Anel Dragic.