A l’occasion de la sortie française de Je ne peux pas vivre sans toi, retrouvez notre ensemble sur Leon Dai, et notamment un entretien vidéo exclusif avec le cinéaste !
Riche découverte que celle de Shimazu Yasujirô, que nous a permis la Maison de la culture du Japon en octobre, en présentant sept beaux films de ce cinéaste injustement méconnu.
Yakuza Eiga ultra-classique, Outrage annonce le grand retour de Kitano au genre qui a fait sa gloire. Dix ans ont cependant passé depuis Brother, et la donne a complètement changé. Par Victor Lopez.
Alors que le troisième volume de ses œuvres est disponible chez Blaq out, et que la sortie du Soldat Dieu et de la rétrospective à la cinémathèque approchent, East Asia revient sur quelques titres du grand Wakamatsu avant de se plonger dans cette actualité !
Jeudi 21 octobre 2010, en début d’après-midi. Dans le Hall d’un grand hôtel parisien, nous attendons Leon Dai, impatients de le féliciter pour son dernier film, Je ne peux pas vivre sans toi, et surtout de le questionner pour savoir comment il en est arrivé à signer une telle merveille. Plus d’une heure et demie d’ interview plus tard, nous ressortons avec la certitude d’avoir eu devant nous un vrai cinéaste, et l’envie de revoir de nouveau son film magnifique.
D’octobre 2010 à février 2011, le musée du quai Branly nous ouvre les portes d’une maison Baba, dévoilant ainsi le raffinement d’une des communautés les plus importantes de Singapour : les Peranakans avec l’exposition Baba Bling, signes intérieurs de richesse à Singapour. Par Sonia Recasens.