Udine, jour 5, avec le très grand Michael Hui à l’honneur, entre autres réjouissances (dont le meilleur pinku eiga de tous les temps) ! Par Bastian Meiresonne.
La collection des romans pornos éditée par Wild Side s'est enrichie de trois titres. Après Dans l'arène du vice et Esclave sexuelle, c'est avec appréhension que votre serviteur s'intéresse à ce Portraits de la beauté soumise. Par Yannik Vanesse.
Si je vous dis "film d’auberge", vous me répondez ? Mais non, pas Cédric Klapisch ! Allez, ouvrez vos manuels à la lettre K, puisqu’aujourd’hui on va parler un peu de King Hu et plus précisément d’un de ses films (d’auberge donc ! ) : The Fate of Lee Khan (ou L’Auberge du printemps pour ceux qui n’auraient pas saisi le sujet du film). Par Anel Dragic.
Beauté et intelligence du réel : le japon politique et contestataire des années 70 revit sous la caméra anthropologico-marxiste de Yann Le Masson. Par Victor Lopez.
Thriller sud-coréen précédé d’une réputation de film-choc, Bedevilled ne serait-il qu’un film trash de plus ? Pas vraiment. Et c’est tant mieux. Loin de l’exercice gore terroriste ou du slasher movie d’éjaculateur précoce qu’on pouvait craindre, Bedevilled se distingue d’abord par sa texture visuelle : au plus intime du grain de l’image, net, lumineux, implacable, semble sourdre un malaise diffus, explosant le carcan du film de genre et hissant son propos, par-delà les poncifs, au rang de la parabole. Par Antoine Benderitter.
Un film de fantôme asiatique qui se transforme en tragédie mélodramatique sur le deuil ? The Coffin aurait pu être un grand film… Malheureusement, sa richesse thématique est quelque peu étouffée par une mise en scène conformiste et pataude… Dommage !