Mekong Hotel, après avoir été spécialement programmé à la sélection « Un Certain Regard » du festival de Cannes 2012, est présenté hors-compétition à Deauville Asia 2013. L'occasion idéale de revenir sur le film de vampire du grand Apichatpong Weerasethakul. Par Nicolas Debarle.
À l’occasion de la projection de The Flying Swords of Dragon Gate à Deauville Asia 2013, retour sur la dense filmographie de Tsui Hark, avec une sélection de 10 films incontournables du maître du cinéma de Hong Kong ! Par East Asia.
Sushi Typhoon revient, offrant un spectacle toujours aussi délicieusement trash et délirant. Au programme de ce Yakuza Weapon, le bien-nommé : explosions, décapitations, combats outranciers et dialogues badass. Elephant Films, toujours de la partie quand il s'agit d'offrir au public français un film « autre », nous a concocté une jolie édition avec le métrage en DVD et en Blu-ray d'une qualité technique très appréciable et associés à un certain nombre de bonus.
À l’occasion de ses cinquante années d’activité en tant que cinéaste, Yamada Yoji, particulièrement connu pour être le créateur de la série Tora-san, signe le remake du célèbre Voyage à Tokyo de Ozu Yasujiro. Exprimant certainement par là sa passion et son respect pour les œuvres du maître, le réalisateur réinterprète les thèmes de la famille, de la filiation et du deuil au diapason de la société japonaise contemporaine. Un grand bol d’air frais dans un Japon traumatisé par la catastrophe du 11 mars 2011. Par Nicolas Debarle.
La sortie d'une très jolie figurine dérivée était l'occasion idéale de revenir sur un jeu de rôle qui fait parler de lui depuis quelques temps. Ainsi, après s'être intéressé à Manga No Densetsu, Les Errants d'Ukyio et Devâstra : Reincarnation, East Asia revient à l'univers du manga avec le bien nommé MangaBoyZ, édité chez Le Grimoire
Avec The Land of Hope, Sono Sion livre un film à charge contre l’énergie nucléaire et l’attitude des autorités japonaises face à une catastrophe inspirée de celle de Fukushima. Un film « militant » qui échappe à une certaine lourdeur dogmatique en se focalisant sur un sujet cher à Sono Sion : la destruction/construction familiale. Par Marc L'Helgoualc'h.