Jusqu'au mois de juillet, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) présente une cinquantaine de productions parmi les plus marquantes de la Shintoho, compagnie fondée en 1947 qui a produit plus de 800 films avant de s'éteindre en 1961. L'occasion rêvée pour vous parler du réalisateur Ito Daisuke et de son film de jidaigeki, La tête du serviteur.
En 2000, Ang Lee réalisait Tigre et dragon, premier du nom, film aussi essentiel que qualitativement en deçà de ce que le spectateur aurait pu espérer. Seize ans plus tard, une suite arrive sur nos écrans, grâce à Yuen Woo-Ping, qui remplace Ang Lee derrière la caméra, et grâce à Netflix. Après sa sortie en streaming légal, le film se retrouve en ouverture du Festival du Cinéma Chinois en France, cuvée 2016
Debout les campeurs et haut les cœurs ! Re-bienvenue dans le box-office après une longue longue pause. Aujourd'hui, nous allons nous attaquer au Pays du matin calme et à ses succès, dans la semaine du 15 au 22 juin.
Au Festival de Cannes 2016, nous avons eu la chance de découvrir un fort joli film d'animation : La Tortue rouge, réalisé par Michaël Dudok de Wit. Sélectionné dans la catégorie Un Certain Regard, le film est reparti de la Croisette avec le Prix Spécial. Rien de mieux pour entreprendre avec sérénité l'ouverture du Festival International du Film d'Animation d'Annecy, qui s'est déroulée le 13 juin. De production franco-belgo-japonaise, La Tortue rouge mélange les influences culturelles avec finesse, durant 1h20 et sans parole. Une belle parenthèse pendant le festival que vous pourrez découvrir en salles le 29 juin.
Belladonna de Tamamoto Eiichi : un joyau sulfureux et rare de l'animation japonaise ressort en salles le 15 juin dans une splendide restauration 4K.
Après son passage remarqué au Brussels International Fantastic Film Festival cuvée 2016, dans lequel il était sélectionné en compétion internationale, Seoul Station continue de voyager en festival et s'arrête à Annecy, dans le cadre de son Festival International du Film d'Animation. Seoul Station, ici aussi en compétition internationale, mérite amplement le détour, avec son histoire d'invasion zombiesque dissimulant une tétanisante critique de la société coréenne.