Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il se penchent dans cette chronique sur Beyond Imperial Aesthetics - Theories of Art and Politics in East AsiaBonsoir, un ouvrage intéressant paru aux presses universitaires de Hong Kong. Par Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang.
On continue notre tour du catalogue de la Korean Film Archive, en vous proposant les critiques des meilleurs films de la cinémathèque coréenne. Restauré en 2017, A Day Off de Lee Man-hee est un sommet du drame social coréen des années 60, décennie du marasme économique.
Deuxième partie de notre suivi du 24è Festival International du Film de Busan qui s'est tenu du 3 au 12 octobre 2019. Après les films coréens, on passe aux autres films asiatiques vu lors de cette édition : 6 pays sont à l'honneur : Japon, Chine, Taïwan, Inde, Pakistan et Iran.
En attendant des nouvelles de la cinéastes nippone, nous discutons avec Nicolas Bardot (Le Polyester) de l’œuvre de Kawase Naomi. Par Kephren Montoute & Jeremy Coifman.
Au bout du monde, nouveau long-métrage de Kurosawa Kiyoshi, qui arrive en salles aujourd'hui, est l’un des plus beaux films du cinéaste, et une invitation délicate à partager la déambulation d’une grande amoureuse.
Nous poursuivons notre voyage dans le catalogue de la Korean Film Archive, qui met à disposition gratuitement et légalement pléthores de films coréens classiques sur les internets. En 1955, à peine deux ans après la «fin» de la Guerre de Corée, le sud-coréen Lee Kang-cheon réalisait Piagol, un film brutal, mécontentant toutes les idéologies.