En 2017, au Festival de Cannes, nous avons découvert le film japonais Oh Lucy!. Le 31 janvier 2018, le film était disponible aux yeux de tout le monde, dans les salles de cinéma. Depuis le 21 juin, il est dans votre salon en vidéo ! Retour sur une très belle surprise en compagnie de sa réalisatrice.
A l’occasion du programme JET (« Japan Exchange and Teaching Programme »), Matsumoto Leiji, le père prodigue d’Albator, Maetel et Emeraldas, a tenu une grande conférence à la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) le 7 juin. En collaboration avec Animeland et Leiji News (qui suit l’actualité de l’auteur sur les réseaux sociaux), East Asia a eu le privilège de rencontrer celui qui a régné en maître sur la science-fiction japonaise des années 70.
A l’occasion de la sélection du film Our Time Will Come d'Ann Hui au Festival du Cinéma Chinois en France (FCCF), retour sur la carrière de la cinéaste alors qu'elle était venue présenter certains de ses films à la rétrospective de la Cinémathèque française dédiée au cinéma hongkongais.
Hosoda Mamoru continue d’explorer la famille à travers des variations d’échelle, de corps ou d’espace-temps. Dans Mirai, ma petite sœur, il nous dévoile l’univers d’un petit garçon qui doit découvrir sa place dans sa famille à l’aune de la naissance de sa petite sœur. Le cinéaste revient à la douceur et la naïveté de l’enfance pour nous plonger dans une mélancolie universelle et existentialiste.
Après avoir distribué l'année dernière trois des chefs d'oeuvre de Kitano Takeshi en version restaurée sur grand écran (L’Été de Kikujiro, Hana-Bi et Kids Return), La Rabbia nous les propose en version collector, au rythme d'un film par mois à l'approche de l'été. Chaque édition comprend le film en Blu-Ray et DVD, accompagné de la bande originale composée par Hisaishi Joe ainsi qu'un livret de 40 pages présentant à la fois l'oeuvre qui l'accompagne, son importance dans la filmographie de Kitano et le parcours de ce dernier. Si en avril dernier L’Été de Kikujiro avait ouvert le bal avec une édition remarquable autant d'un point de vue technique que ludique, Hana-Bi ne bénéficie pas du même traitement.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, zoom sur un festival incontournable au Japon : le Tokyo Filmex.