Pour son deuxième long-métrage Default, Choi Kook-hee revient sur la crise monétaire de 1997 en Corée dans une reconstitution minutieuse et incisive de ses origines, sa gestion et enfin ses conséquences sur le pays. Présenté dans la section Paysage du Festival du Film Coréen à Paris, Default est une charge frontale sur l'irresponsabilité des puissants.
La 14ème édition du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) a débuté ce mardi 30 octobre 2019 et proposera une riche sélection de films tout au long de la semaine. C'est la comédie d'action Exit de Lee Sang-geun qui a ouvert les festivités. Rires et vertige étaient au rendez-vous !
Président de la Korean Film Producers Association, Lee Eun est une des pierres angulaires de cette vague de talents qui a déferlé sur la scène internationale à la fin des années 90. Nous l’avions rencontré à l’occasion de la Paris Image Cinéma, lors d’un colloque consacré aux relations artistiques et économiques entres le cinéma coréen […]
Ishikawa Hiroshi sonde la solitude urbaine à travers une œuvre légère, revenons sur ce cinéaste rare. Par Kephren Montoute & Jeremy Coifman.
Après une excursion américaine peu glorieuse et une collaboration oubliable avec Arnold Schwarzenegger (Le Dernier Rempart – 2013), Kim Jee-woon est revenu dans son pays natal en 2016 avec The Age of Shadows que le Festival du Film Coréen à Paris remet à l'honneur à l'occasion de la venue du réalisateur et de Song Kang-ho à Paris.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il se penchent dans cette chronique sur Beyond Imperial Aesthetics - Theories of Art and Politics in East AsiaBonsoir, un ouvrage intéressant paru aux presses universitaires de Hong Kong. Par Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang.