Cinéaste de tous les extrêmes ayant rapidement obtenu le statut de réalisateur culte et inclassable avec son diptyque Tetsuo, ainsi que Tokyo Fist et Bullet Ballet, Tsukamoto Shinya continue avec Vital d'amorcer son virage cinématographique de début de nouveau millénaire. Après le sensuel et troublant A Snake of June, Vital arrive à point nommé pour déstabiliser encore plus les cinéphiles admirateurs du cinéaste nippon.
MUBI a sélectionné les chefs d'œuvre de Kitano Takeshi pour son mois de juillet. On se replonge dans Kids Return, réalisé en 1996.
Yamaguchi Junta, que l'on avait découvert avec Beyond The Infinite Two Minutes, récidive avec une nouvelle comédie de science-fiction bonne enfant : River. Celle-ci est présentée dans le cadre du Neuchâtel International Fantastic Film Festival (NIFFF).
Juste sous vos yeux : un dialogue entre Eunkyung Shin et Stephen Sarrazin (lire l'avant-propos) ici autour de deux films : La Femme qui s’est enfuie (2020) de Hong Sang-soo et The Housemaid (2010) de Im Sang-soo.
Au programme du Neuchâtel International Fantastic Film Festival (NIFFF), le dernier bijou de Soi Cheang produit par la Milkyway, Mad Fate, s'aventure plus que jamais dans les bas-fonds de Hong Kong et la noirceur de l'âme humaine. Un thriller sordide à fleur de peau qui confirme le regain de force phénoménal du cinéma d'auteur hongkongais ces dernières années.
Connaissez-vous Izumiya Shigeru ? Chanteur, guitariste, producteur de musique, scénariste, acteur, animateur de télévision, ce touche-à-tout est surtout le réalisateur de deux longs métrages parfaitement inscrits dans les courants punk et cyberpunk des années 1980 : Harlem Valentine’s Day: Blood is Sex et Death Powder. Partager Suivre