Des premiers pas hésitants à sa récente explosion de popularité, les plus de cent années d'existence du cinéma coréen valaient bien une monographie. Fort d'innombrables heures de visionnage et d'une passion sans failles, Bastian Mereisonne en assume la charge et nous livre, avec Hallyuwood : le cinéma coréen, un résultat à la hauteur du défi.
Eight Taels of Gold est une œuvre poignante venant conclure la trilogie de l'exil au sein de la filmographie de Mabel Cheung, et offre une de ses plus belles prestations dramatiques à Sammo Hung en Chinois redécouvrant ses racines.
MUBI a effectué une sélection de 14 films issus du prestigieux catalogue de la Shaw Brothers pour ce mois de décembre. On revient sur Un seul bras les tua tous de Chang Cheh, une véritable révolution pour le genre du wu xia pian.
S’il y a bien un réalisateur japonais dont on retrouve le nom dans la plupart des grands festivals de cinéma, c’est celui de Kore-eda Hirokazu. Un an après Les Bonnes étoiles, il revient avec un nouveau film L’Innocence qui est reparti de Cannes doublement primé du prix du scénario ainsi que de la Queer Palm. Alors, qu’est-ce qui, dans ce nouveau métrage, a fait retrouver à Kore-eda le chemin des prix cannois ?
Ninomiya Ryutaro était présent au Festival Kinotayo pour présenter son quatrième long métrage : Dreaming in Between, l'histoire fantomatique de Shuhei, directeur adjoint d'un lycée, souffrant de sénilité. L'occasion de s'entretenir avec le réalisateur sur son œuvre et sa vision du cinéma.
MUBI a effectué une sélection de 14 films issus du prestigieux catalogue de la Shaw Brothers pour ce mois de décembre. On revient sur Ai Nu, esclave de l'amour de Chu Yuan, vénéneux récit de vengeance saphique.