A l'occasion de son 15e anniversaire, la Maison de la Culture du Japon propose une vaste rétrospective en 150 films dont la première partie se tiendra du 2 mai au 28 juillet 2012. Répartie en 15 thématiques, il risque d'y en avoir pour tous les goûts. L'occasion de (re)découvrir certaines oeuvres plus rares, difficiles à intégrer dans des rétrospectives dédiées à un auteur ou à un studio.
On me demande parfois à quoi je carbure pour tenir mon frénétique rythme de visionnage, mes nombreux déplacements et la multiplication de mes activités…Bah, à la passion, pardi…à ma passion pour le cinéma et pour le cinéma asiatique plus spécifiquement. Le cinéma asiatique est ma came, celui qui tient tous mes sens en éveil, me fait passer moultes nuits blanches et finira par avoir ma peau, ça c'est sûr. Par Bastian Meiresonne.
Tous les jours, Kit Silencer vous donne les dernières news en direct d’Asie ! Pour tout savoir sur ce qui se passe aujourd’hui sur les écrans japonais, coréens, chinois, thaïlandais ou indiens, c’est par ici ! Au programme du jour : une paire de frères coréens en Allemagne, une paire de films policiers pour Lau Ching-wan et de nombreux esprits sur les ondes singapourienne ! Par Kit Silencer.
Une première vraie journée indéniablement placée sous le signe des "jeunes (et moins jeunes) premiers" du cinéma asiatique avec une sélection de courts-métrages issus du festival hongkongais FRESH WAVE chaperonné par Johnnie To (en sa présence), un premier long de l'autoproclamé "Steven Spielberg de la Chine" Fei Wing et une poignée de seconds longs confirmant la présence ou l'absence de talent de leur réalisateur. Par Bastian Meiresonne.
Tous les jours, Kit Silencer vous donne les dernières news en direct d’Asie ! Pour tout savoir sur ce qui se passe aujourd’hui sur les écrans japonais, coréens, chinois, thaïlandais ou indiens, c’est par ici ! Au programme du jour : les 4 filles du réalisateur Ishikawa, Shakespeare censuré en Thaïlande et un duo horrifique dans les salles indonésiennes !
C’est à l’indispensable FICA de Vesoul, qui proposait l’intégralité de l’œuvre discrète mais majeure de Kore-eda Hirokazu, que nous avons rencontré le réalisateur de I Wish. L’occasion de longuement s’entretenir sur son œuvre, son rapport au quotidien, aux enfants et ses goûts cinématographique. Par Victor Lopez.