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Une première vraie journée indéniablement placée sous le signe des "jeunes (et moins jeunes) premiers" du cinéma asiatique avec une sélection de courts-métrages issus du festival hongkongais FRESH WAVE chaperonné par Johnnie To (en sa présence), un premier long de l'autoproclamé "Steven Spielberg de la Chine" Fei Wing et une poignée de seconds longs confirmant la présence ou l'absence de talent de leur réalisateur. Par Bastian Meiresonne.
Tous les jours, Kit Silencer vous donne les dernières news en direct d’Asie ! Pour tout savoir sur ce qui se passe aujourd’hui sur les écrans japonais, coréens, chinois, thaïlandais ou indiens, c’est par ici ! Au programme du jour : les 4 filles du réalisateur Ishikawa, Shakespeare censuré en Thaïlande et un duo horrifique dans les salles indonésiennes !
C’est à l’indispensable FICA de Vesoul, qui proposait l’intégralité de l’œuvre discrète mais majeure de Kore-eda Hirokazu, que nous avons rencontré le réalisateur de I Wish. L’occasion de longuement s’entretenir sur son œuvre, son rapport au quotidien, aux enfants et ses goûts cinématographique. Par Victor Lopez.
Tous les jours, Kit Silencer vous donne les dernières news en direct d'Asie ! Pour tous savoir sur ce qui se passe aujourd'hui sur les écrans japonais, coréens, chinois, thaïlandais ou indiens, c'est par ici ! Au programme du jour : une triste perte pour le Japon, un passage difficile de l'Histoire indonésienne et les derniers coups bas et ententes entre la Chine et les USA !
Si le talent ne se transmet pas par l'hérédité (Lamberto Bava aurait eu une carrière bien différente, si cela avait été le cas), poser les yeux sur un film avec à son casting le fils de Steven Seagal ne peut que donner envie ! Et quand à ses côtés se trouve le très poseur Sakaguchi Tak, l'amateur de bisserie décomplexée ne peut qu'être aux anges ! Par Yannik Vanesse
La Disparition d’Haruhi Suzumiya (Suzumiya Haruhi no Shōshitsu) est un film d'animation faisant suite à la série La Mélancolie d’Haruhi Suzumiya (Suzumiya Haruhi no yūutsu) tout en étant la fidèle représentation du quatrième roman éponyme de Nagaru Tanigawa. Le visionnage de ce long métrage est fortement conseillé aux personnes ayant visionné préalablement les deux saisons de l’anime ou la lecture des trois premiers romans afin d’avoir les pré-requis indispensables à la compréhension de l’intrigue. Par Julien Thialon.