Tsutsumi Yukihiko a connu son quart d'heure de célébrité en France avec l'adaptation du manga 20th Century Boys en 2008. Tsutsumi n'a pas cessé de tourner depuis et il réalise à nouveau l'adaptation d'un roman : Initiation Love.
Le monstre mythique japonais Godzilla a beau avoir 60 ans maintenant, il inspire toujours autant ! On l'a vu en 2014 avec Gareth Edwards. On le verra certainement en 2016 mais cette fois-ci au Japon !
Après avoir mis en avant les productions du studio Ghibli, la chaîne de télévision Arte se penche sur le très récent studio Chizu et son film Les Enfants Loups, Ame et Yuki.
En compétition au Festival Kinotayo, FORMA est le premier film de Sakamoto Ayumi : un drame à la mise en scène qui rappelle Michael Haneke et Abbas Kiarostami, déjà récompensé par le prix Fipresci à la 64è Berlinale et par le prix du meilleur film japonais au Festival international du film de Tokyo 2013. Un film très recommandable.
Le Festival Kinotayo a projeté en compétition FORMA, le premier film de Sakamoto Ayumi, récompensé du prix Fipresci à la 64e Berlinale et du prix du meilleur film japonais au Festival international du film de Tokyo 2013. FORMA est un drame sous tension et une confrontation entre deux femmes, Ayako et Yukari, anciennes amies de lycée qui se revoient neuf ans plus tard. Leurs relations vont bientôt prendre un tournant angoissant emprunt de haine lorsque Ayako devient de plus en plus dominatrice et manipulatrice. La mise en scène et les longs plans parfois statiques de FORMA vont penser au cinéma d'Abbas Kiarostami et Michael Haneke. Le film prend tout son temps (2h25) pour développer son sujet et dévoiler ses secrets au fur et à mesure au spectateur... Un premier film réussi qui laisse envisager un avenir prometteur à la réalisatrice. Entretien.
En attendant sa sortie en janvier en France, critique du dernier né des Studios Ghibli à voir en décembre aux festivals Carrefour de l'animation du Forum des Images et Kinotayo à la Maison de la Culture du Japon de Paris : Souvenirs de Marnie de Yonebayashi Hiromasa.