Nous avons rencontré Okuyama Hiroshi à l'occasion de la sortie de My Sunshine, deuxième de ses films à sortir en France après Jésus (2018). Un beau coming of age sportif confirmant les espoirs placés en le réalisateur.
Après le très attachant Jésus (2018), le jeune réalisateur Okuyama Hiroshi revient avec My Sunshine, distribué par Art House, beau récit d'apprentissage aux antipodes des poncifs du récit sportif.
« Faire un film, c’est changer le monde. Même si rien ne change. » MIYAZAKI HAYAO
Du 22 janvier au 8 février 2025, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) poursuivra sa découverte des artisans chevronnés du cinéma japonais, avec un cycle dédié au réalisateur Okamoto Kihachi, appelé le "John Ford japonais", en allusion au célèbre cinéaste américain.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il rend hommage aujourd’hui hommage à l’actrice Nakayama Miho (1970-2024). Partager Suivre
Le jeune mais passionnant et passionné éditeur Roboto Films poursuit en édition mediabook combo DVD/ Blu-Ray sa collection "Gangsters". Après Violent Panic: The Big Crash (1976) de Fukasaku Kinji et Great Jailbreak (1975) de Ishii Teruo, une œuvre de Gosha Hideo est mise en lumière : Violent Streets. Plus que la parution d'un film méconnu, cette édition offre l'occasion de découvrir un film d'exploitation (non sans une ambition artistique) véritablement inconnu !