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Aussi sympatique et gentil que ses films sont dérangeants et provoquants, Kim Kyung-mook a confirmé au Black Movie tout le bien que l'on pensait de son cinéma lors de sa découverte au FFCP. Entretien avec un "ange avec des cornes de diables", pour reprendre le mot de Bastian Meiresonne par Julien Thialon.
À l'occasion de la programmation de In Another Country au Black Movie de Genève, retour sur une filmographie essentiel du cinéma contemporain. D'un film à l'autre, de The day he arrives à In another country, ballade en solitaire chez Hong Sang-soo. Par Fabien Alloin.
Pour son septième long métrage, Im Sang-soo continue d'explorer la face sombre de l'élite sud-coréenne. Comme dans ses autres films, le réalisateur reprend ses thèmes de prédilection : le pouvoir, l'argent et le sexe. Un cimetière de la morale à la sauce oligarchique. Sélectionné au dernier Festival de Cannes, le film sera projeté au festival Black Movie de Genève avant sa sortie en France le 23 janvier et . Par Marc L'Helgoualc'h.
Existences solitaires, réflexions sur l’identité, violence de l’amour, ambiguïtés sexuelles… Stateless Things réunit toutes les préoccupations précédemment filées dans les courts-métrages de Kim Kyung-mook tout en les incorporant, cette fois-ci, dans un récit (plus ou moins bien) construit et non plus seulement dans une série d’images fortes sans véritable tension dramatique. Mais que l'on ne s'y trompe pas, Stateless Things reste un film contemplatif privilégiant largement l'atmosphère à l'action. Par Clément Pascaud.
Après avoir filmé les déboires sentimentaux d’un prof d’université porté sur la bouteille et les femmes, Hong Sang-Soo revient aux affaires avec une Isabelle Huppert Lost in Translation, dans In Another Country. Par Jérémy Coifman.
Le succès de Ring a fait bien des émules, les fantômes de petites filles aux longs cheveux débarquant de partout pour surfer sur le succès bien mérité du chef-d’œuvre de Nakata Hideo. Après la VHS maudite, le téléphone de l'enfer, les chaussures, le violoncelle et même la perruque, nous parvient de Corée une nouvelle histoire d'esprit de petite fille vengeur qui, cette fois-ci, utilise des chats démoniaques. C'est ainsi grâce à Elephant Film qu'il est possible de voir ce bien nommé The Cat, les griffes de l'enfer