Le cinéma coréen surprend toujours le public occidental. En effet, entre deux comédies romantiques un peu mièvre, la Corée produit un film brutal, dur, voire malsain qui crée la polémique. Et apparemment, Kim Ki-duk n'est pas le seul à aimer secouer le comité de censure coréen !
Parmi les productions coréennes attendues cet été au Pays du matin calme, il y a Kundo: Age of the Rampant, réalisé par Yoon Jong-bin, qui avait déjà officié sur Nameless Gangster.
Choi Min-sik tourne certes dans Lucy, le prochain Luc Besson. Ca ne l'empêche pas de continuer à dérouler sa belle carrière en Corée !
Une fois n'est pas coutume, un cinéaste coréen se lance dans la réalisation d'un film d'horreur !
Le marché du Festival du Cannes permet à de nombreux films de convaincre les producteurs étrangers. The Pirates a réussi le pari et a été vendu à 15 pays, dont les Etats-Unis, l'Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas.
On peut dire que pour Kim Seong-hun, réalisateur du réjouissant Hard Day, le dimanche 18 mai ne fut pas un jour difficile. Contrairement au protagoniste de son film, un flic ripoux qui accumule les poisses en cherchant à se débarrasser d’un cadavre qu’il a renversé, le jour de l’enterrement de sa mère et au moment même où l’inspection risque de mettre ses magouilles à jour, le réalisateur vit plutôt une journée de rêve. Après huit ans de traversée du désert suite à l’échec de son premier long métrage (How the Lack of Love Affects Two Men, en 2006), voilà le cinéaste de retour par la grande porte, acclamé à Cannes, où la projection d’un bon polar coréen teinté d’humour noir a enthousiasmé la Croisette. Rencontre avec un jeune cinéaste à suivre !