Mélangez une fille qui se vêtit en garçon avec de beaux et nombreux lycéens. Assaisonnez à l’aide d’une agréable touche d’humour. Saupoudrez avec une histoire touchante et enfin, poivrez avec un zeste de futilité. Ainsi, vous obtiendrez un drama Japonais incontournable nommé Hanazakari No Kimitachi E, plus communément appelé Hana Kimi. Par Véronica Berdie.
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Metropolitan continue sur sa lancée et édite les classiques du catalogue Fortune Star. S’il va falloir une fois de plus surveiller son porte monnaie sous peine de risquer une visite des huissiers (attendez vous à voir débarquer les titres en masses dans les mois à venir), le jeu en vaut la chandelle puisque comme c’est le cas avec ce Righting Wrongs, c’est aussi l’occasion de (re)découvrir des pépites qui ont fait la magie du cinéma de Hong Kong. Par Anel Dragic.
Petite présentation de la J-Pop, (Japanese-Popular Music), genre musical spécifique au Japon. Avec l’Enka (forme traditionnelle de ballade), le classique et la musique internationale, il s’agit de la principale catégorie de musique que vous trouverez dans les magasins japonnais. La J-pop est elle même divisée en plusieurs styles : J-rock , J-rap et Visual key. Petit mode d’emploi en attendant les critiques bi-mensuelles d’Olivier Mercher.
Yi Yi, film taïwanais sorti en l’an 2000, semble être né sous une bonne étoile : prix de la mise en scène à Cannes ; plébiscite critique à travers le monde ; succès public notable pour une chronique intimiste de 2h43. Derrière la conception de Yi Yi, son écriture, sa réalisation : un seul homme, Edward Yang. Ce passionné de films d’auteur européens, reconverti un temps dans l’informatique, meurt en 2007. Yi Yi restera le dernier de ses sept longs-métrages, et sans doute le plus connu. A dix ans de distance, on peut juger utile de revenir sur le phénomène : mieux comprendre ce film, sa beauté et les carences troublantes qu’il affiche à la re-vision, c’est peut-être aussi mieux cerner une certaine approche du cinéma et de la cinéphilie, voire, pourquoi pas, de la vie. Par Antoine Benderitter.
A l’occasion de la sortie de I wish I knew, histoires de Shanghai, le nouveau film de Jia Zhangke, retour sur une œuvre à la cohérence thématique et esthétique sans appel. Par Sidy Sakho et Victor Lopez.