Mercredi – tous les coups sont permis… comme celui de caler une journée sans "classiques du cinéma coréen" au Festival d'Udine… Très dommage, d'ailleurs, car à la place, on avait droit à deux comédies, dont je me serai personnellement bien passées. Par Bastian Meiresonne.
Il est des protagonistes du cinéma asiatique que l'on ne présente plus et Jackie Chan est définitivement de ceux-là. La star martiale de Hong Kong a néanmoins, depuis quelques années, baissée en estime dans le cœur des fans. Avec une carrière US plus calamiteuse qu'autre chose, voilà que désormais Jackie se lance à l'assaut du marché mainland. Par Anel Dragic.
Beaucoup de spectateurs ont déploré la relative absence de gros actioners à l'édition du plus célèbre des festivals asiatiques italiens cette année – et force est de constater, que si cette journée se plaçait incontestablement sous le signe de la castagne, les coups donnés n'étaient pas forcément les plus durs. Par Bastian Meiresonne.
On me demande parfois à quoi je carbure pour tenir mon frénétique rythme de visionnage, mes nombreux déplacements et la multiplication de mes activités…Bah, à la passion, pardi…à ma passion pour le cinéma et pour le cinéma asiatique plus spécifiquement. Le cinéma asiatique est ma came, celui qui tient tous mes sens en éveil, me fait passer moultes nuits blanches et finira par avoir ma peau, ça c'est sûr. Par Bastian Meiresonne.
La World Cinema Fondation parrainée par Martin Scorcese tente de mettre en lumière et de sauvegarder bon nombre de films presque oubliés, en voie de disparition. Dans le magnifique coffret édité par Carlotta paru au mois d’avril, un film nous intéresse : La flûte de roseau, troisième film du réalisateur kazakh, Ermek Shinarbaev. Par Jérémy Coifman.
Pendant que les uns se passionneront pour la vie en allant voter, d'autres vivront leur passion en votant d'aller… à Udine, haut lieu du spritz, des pizz' et de l'Asie dans tous états. Par Bastian Meiresone.