Douze ans après sa dernière fiction japonaise, Iwai Shunji repasse derrière la caméra avec un film d'animation, Hana et Alice mènent l'enquête.
Ran est un chef-d’œuvre. Le dernier, peut-être, d’une série qui continue, aujourd’hui, d’afficher sa suprématie sur d’autres filmographies plus ou moins réussies.
Bonjour à tous et bienvenus sur East Asia pour notre 33ème podcast, consacré, après nos émissions sur le Japon et la Corée au cinéma chinois, à l'occasion de la sortie du chef-d'oeuvre de Hou Hsiao-Hsien : The Assassin. L'occasion de faire un point sur ce cinéma en companie de Martin Debat, d'Elvire Rémand, de Justin Kwedi, de Nicolas Lemerle, de Samir Ardjoum, de Yannik Vanesse, de Jeremy Coifman, de Marc L'Helgoualc'h, d'Elias Campos, de Kephren Montoute et de Victor Lopez : bonne écoute !
Une fable provinciale subtile, proche dans sa facture réaliste des premiers films d'un Jia Zhang-ke.
Premier film de sa cuvée 2015 visible chez nous, Gokudô Daisensô (Yakuza apocalypse), marque un retour aux sources bienfaiteur du cinéaste stakhanoviste le plus frappé du Japon : Miike Takashi. Présenté pour la 34ème édition du Brussels International Fantastic Films Festival, ce nouveau cru laisse espérer qu'après quelques égarements artistiques, le réalisateur des DOA et autre Visitor Q est toujours présent.
A 26 ans, le cinéaste chinois Bi Gan signe un premier long-métrage prodigieux, Kaili Blues, sous l’influence de Hou Hsiao-Hsien et Tarkovski.