Après A l'heure des souvenirs et Nos âmes la nuit en 2017, le réalisateur indien Ritesh Batra revient à domicile pour la première fois depuis The Lunchbox, avec Le Photographe. Un film charmant quoique trop lisse, traitant avec finesse de l’amour par-delà les classes sociales.
Excellente initiative du Festival Black Movie de projeter Height of the Wave du Coréen Park Jung-bum, réalisateur pour l’instant assez confidentiel mais qu’on espère voir régulièrement dans les années à venir.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Remarques sur la sortie du coffret Roman Porno chez Éléphant Films.
L'édition 2020 du Black Movie présente le dernier film en date de Lav Diaz, Halte, dans la catégorie Marcos, Ceausescu & cie, qui regroupe des œuvres inspirées par les dérives du pouvoir totalitaire. Retour sur un film d’anticipation d’une noirceur abyssale et d’une importance capitale.
Pour son cycle inaugural, l'association Un Vent d'Asie avait choisi de mettre à l'honneur trois premiers films, variant les nationalités et les univers. Ceci fut l'occasion de découvrir Suffering of Ninko, premier et, pour le moment, seul film du réalisateur japonais Niwatsukino Norihiro. Ou le singulier chemin de croix d'un moine irrésistible.
Le 17 décembre est sorti chez Elephant Films le magnifique coffret Roman Porno 1971-2016 – Une histoire érotique du Japon. Tous les films sont passés à la loupe eastasienne. C’est au tour de Lady Karuizawa réalisé par Konuma Masaru !