Récompensé l'an dernier par le prix Flyasiana pour son court métrage Hometown lors du 18e Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), le réalisateur Heo Ji-yun était cette année convié à présenter ses précédentes œuvres afin de faire plus ample connaissance. En plus de Hometown, deux autres courts ont donc été présentés : New Born de 2017 et Trevi de 2020.
Roboto Films sort un superbe coffret consacré aux films de fantômes produits au sein du studio Daiei. Revenons sur Snow Woman de Tanaka Tokuzo, récit tragique et formellement somptueux traitant du yokai "la femme des neiges".
La cérémonie d'ouverture de la 3e édition du Festival du Film Hongkongais de Paris était accompagnée d'un film-évènement dont on avait cessé d'espérer un jour la sortie : Where The Wind Blows de Philip Yung. Tourné il y a de nombreuses années, passé au crible par le comité de censure, monté, remonté, trituré, pour enfin se présenter à nous.
Après une belle rétrospective salles en début d’année, Carlotta Films nous fait replonger dans l’âge d’or du cinéma hongkongais, avec la sortie d’un coffret consacré à Stanley Kwan agrémenté de quatre films restaurés et de nombreux bonus. Revenons sur Center Stage, fascinant objet entre biopic et documentaire, capturant le destin d’une star du cinéma chinois classique et offrant un de ses rôles majeurs à Maggie Cheung.
Dans le cadre de son focus sur l'animation coréenne, en partenariat avec la Korea Creative Content Agency, le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) a cette année choisi de présenter l'étonnant Padak de Lee Dae-hee, dessin animé d'horreur sous forme de drame carcéral musical aux protagonistes mignons, sorti en Corée en 2012.
Le film « coup de poing » de cette 3e édition du Festival du Film Hongkongais de Paris, nommé à 16 reprises aux Hong Kong Film Awards de 2024, s'intitule In Broad Daylight et est réalisé par Lawrence Kan. Inspiré de faits réels et d'un scandale médiatique sur le traitement des résidents d'établissements socio-médicaux privés.