La Biographie d’un jeune accordéoniste est l’œuvre la plus récente de la sélection du Festival du Film Kazakhstanais en France : sorti en 1994, après la fin du bloc soviétique, cet Amarcord kazakh porte un regard nostalgique sur l’enfance rurale après la Seconde Guerre mondiale, tout en critiquant le stalinisme.
Trois films d’Abdoulla Karsakbaïev ont été présentés lors de la deuxième édition du Festival du Film Kazakhstanais en France : Je m’appelle Koja (1963), Matin anxieux (1966) et Le Goût âpre de l’enfance (1983). Focus sur ce dernier, film d’apprentissage et voyage initiatique de trois adolescents pendant la Seconde Guerre mondiale.
La 50ème édition du Festival International du Film de Rotterdam (IFFR) est organisée du 1er au 7 février et du 2 au 9 juin 2021. La séquence de février aura lieu uniquement en ligne.
Alors que la cinématographie kazakhstanaise connaît un regain de visibilité internationale (Dvortsevoy sélectionné à Cannes avec Ayka ; Yerzhanov à San Sebastian avec A Dark, Dark Man ; Urazbayeva récompensée à Vesoul pour Mariam), la 2ème édition du Festival du Film Kazakhstanais en France offre l’occasion de découvrir sa généalogie à travers une poignée de films, dans une “rétrospective des classiques” de 1938 à 1994, parmi lesquels on découvre un récit d’apprentissage de 63, Je m’appelle Koja d'Abdoulla Karsakbaïev.
Dans le cadre du Festival du Film Kazakhstanais en France, nous pouvons voir pléthores de films classiques et rares du pays des steppes d'Asie centrale. Attardons-nous sur Notre cher Docteur de Chaken Aïmanov et Aleksandr Karpov, produit en 1957 et qui figure parmi les meilleures surprises de l'évènement.
La fresque historique est au programme du deuxième édition du Festival du Film Kazakhstanais en France, 100% en ligne et gratuite ! La Chute d’Otrar, œuvre phare d’Ardak Amikourlov, revient sur les derniers jours de la ville d’Otrar et, par extension, la destruction de l’Empire khorezmien, musulman et turcophone, par Gengis Khan, en 1219.