Le jeudi 17 mai se tenait à Paris dans les locaux de l'Institut d’Études Supérieures des Arts (IESA) un concours de nouveaux talents taïwanais à travers 10 courts-métrages dont le vainqueur s'est avéré être Reflection de Chuang Ching-Shen. Une opportunité pour East Asia de découvrir et partager avec vous ce cinéma si méconnu en France hormis TSAI Ming-Liang, ANG Lee, le défunt Edward YANG (auteur du chef-d’œuvre Yi Yi) et HOU Hsiao Hsien. Autant dire dès le début, que nous n’avons pas été déçus, loin de là ! Par Julien Thialon
Le Festival du cinéma chinois en France nous revient pour sa deuxième édition. La programmation de l'an dernier se démarquait par une sélection de titres populaires s'éloignant des inconditionnelles sorties chinoises dans les salles françaises. Si en France, cinéma chinois rime avec cinéma social aussi bon soit-il, au budget généralement peu élevé (Jia Zhang Ke, Wang Quan'An...), il est en revanche beaucoup plus rare de voir dans nos salles les derniers succès populaires issus de la République Populaire de Chine. Pas de revirement de politique pour cette deuxième édition, qui continue à explorer le cinéma populaire du cinéma chinois contemporain. Un point donc sur les long métrages présentés, hors films d'animation. Par Anel Dragic
En ouverture du Festival du cinéma Chinois, la belle Gong Li était en conférence de presse pour livrer ses impressions en tant qu'ambassadrice de la 2 ème édition du festival. Cinq minutes avec la belle, cela ne se refuse pas. Par Anel Dragic et Flavien Bellevue
Après une critique assassine de notre envoyé spécial en Chine Maitre Shifu, on aurait pu faire passer The Great Magician de Derek Yee pour un film de Jingle Ma. Pourtant ma séance au FCCF s’est révélée être un agréable moment. The Great Magician de Derek Yee nous parle de spectacle, de magie, de cinéma, et d’amour. Mais est-il un bon divertissement pour autant ? Par Jérémy Coifman
Kora est un beau petit film. Le genre de voyage qu’on aime faire en allant dans une salle de cinéma. Suivre le périple de Zhang Shuaho de la Chine au Tibet est douloureux. La route est longue. Comme souvent, le cheminement est aussi intérieur.Par Jeremy Coifman
Gu Changwei fait partie de la « cinquième génération » du cinéma chinois. Dès ses tout premiers pas son talent est reconnu en Chine et ailleurs. Directeur de la photographie, il travaille avec Chen Kaige, Zhang Yimou, Jiang Wen sur Adieu, ma concubine, Les Démons à ma porte, Qiu Ju, une femme chinoise, parmi d’autres. C’est donc avec joie que nous le rencontrons à Paris, à l’occasion de la première française de son L’Amour eternel au Festival du cinéma chinois en France. Par Alexandra Bobolina.