Disparu des écrans français depuis Vengeance sorti chez nous en mai 2009, Johnnie To revient enfin avec La Vie sans principe (zappant au passage Don't Go Breaking My Heart... on a l'habitude avec les romances du réalisateur), dans lequel il s'attaque à la crise. Par Anel Dragic.
Alors que nous nous apprétons à découvrir son nouveau film Alone au Black Movie de Genève, retour sur une passionante discutions avec son réalisateur, le grand Wang Bing, rencontré à l'occasion de la sortie française de son dyptique Fengming, Chronique d’une femme chinoise (2007) et Le Fossé (2010) en 2011. Par Alexandra Bobolina.
Après avoir filmé les déboires sentimentaux d’un prof d’université porté sur la bouteille et les femmes, Hong Sang-Soo revient aux affaires avec une Isabelle Huppert Lost in Translation, dans In Another Country. Par Jérémy Coifman.
Souvent annoncé, longtemps repoussé, Black Blood, le chef d'oeuvre de Zhang Miaoyan arrive enfin en DVD le 2 janvier ! Pour bien commencer l'année, East Asia vous propose de vous replonger dans l'entretien réalisé par Bastian Meiressone à l’excellent Black Movie Festival de Genève l’an passé (et dont la nouvelle édition se tiendra du 17 au 28 janvier). Et Pour vous rafraîchir la mémoire sur le film avant de vous lancer dans cet entretien fleuve, vous pouvez lire notre dossier (le coup de cœur East Asia 2011, chez la distinguée concurrence).
Le festival Black Movie ouvre ses portes le vendredi 18 janvier pour 10 jours de festivités. 101 films au programme dont une grosse section sur le cinéma asiatique avec pas moins d'une trentaine d'éventuels chefs-d'œuvre proposés. Pour la première fois, East Asia participe à cette orgie cinéphilique et compte bien vous en faire partager les moments clés à travers un reportage photo !
Après notre rencontre à Deauville (lire ici), c'est à Kinotayo, dont il siège désormais au conseil d'administration de l’association soutenant le Festival du film japonais contemporain, que nous avons de nouveau croisé la route de Jean-Pierre Limosin. L'occasion était alors idéale pour se pencher sur l’œuvre trop rare d'un cinéaste passionné par le Japon. Par Victor Lopez.