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Mercredi – tous les coups sont permis… comme celui de caler une journée sans "classiques du cinéma coréen" au Festival d'Udine… Très dommage, d'ailleurs, car à la place, on avait droit à deux comédies, dont je me serai personnellement bien passées. Par Bastian Meiresonne.
Beaucoup de spectateurs ont déploré la relative absence de gros actioners à l'édition du plus célèbre des festivals asiatiques italiens cette année – et force est de constater, que si cette journée se plaçait incontestablement sous le signe de la castagne, les coups donnés n'étaient pas forcément les plus durs. Par Bastian Meiresonne.
On me demande parfois à quoi je carbure pour tenir mon frénétique rythme de visionnage, mes nombreux déplacements et la multiplication de mes activités…Bah, à la passion, pardi…à ma passion pour le cinéma et pour le cinéma asiatique plus spécifiquement. Le cinéma asiatique est ma came, celui qui tient tous mes sens en éveil, me fait passer moultes nuits blanches et finira par avoir ma peau, ça c'est sûr. Par Bastian Meiresonne.
Alors que la tempête faisait rage dehors, le célèbre TEATRO d'Udine tentait de réchauffer les cœurs en balançant une série de comédies romantiques capables de faire fondre le plus endurci des célibataires. Par Bastian meiresonne.
Une première vraie journée indéniablement placée sous le signe des "jeunes (et moins jeunes) premiers" du cinéma asiatique avec une sélection de courts-métrages issus du festival hongkongais FRESH WAVE chaperonné par Johnnie To (en sa présence), un premier long de l'autoproclamé "Steven Spielberg de la Chine" Fei Wing et une poignée de seconds longs confirmant la présence ou l'absence de talent de leur réalisateur. Par Bastian Meiresonne.
Kora est un film sino-taiwanais de Du Jiayi qui a remporté le prix de la meilleure contribution artistique au 24ème festival international de Tokyo en 2011. Arrivant donc avec les honneurs en France dans le Festival du cinéma chinois, il me tardait d’apprivoiser ce premier film dit « d’auteur » de l’ancien producteur de Chen Kaige (Adieu ma concubine, Wu ji, la légende des cavaliers du vent, L’Empereur et l’assassin). Autant dire tout de suite que ma déception fut aussi grande que l’attente consacrée pour ce nouveau réalisateur qui se cherche encore. Par Julien Thialon.