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The Chrysanthemum and the Guillotine de Zeze Takahisa est une des bonnes surprises du dernier Festival Kinotayo : une fresque au résonances politiques toujours vivaces.
Nous avons rencontré Sekine Kosai dont le premier long-métrage, Love at Least, qui suit une surprenante héroïne atteinte de troubles bipolaires, a remporté le prix du jury au Festival Kinotayo.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, il s'entretient avec Tsukamoto Shinya autour de l'indispensable Killing (lire ici), qui a été présenté en France 13ème édition du Festival Kinotayo.
Sakikabara Yusuke était présent à la 13ème édition du Festival Kinotayo pour présenter son premier long-métrage de fiction, Shiori, un drame médical qui puise dans sa propre expérience de kinésithérapeute.
Pour terminer en beauté le 13ème festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo, East Asia vous invite à la cérémonie de clôture, qui se tiendra le 11 février prochain au Club de l'Étoile à Paris.
Passionnante carrière que celle de Zeze Takahisa, de ses débuts dans les pinku eiga (citons les étonnants Raigyu en 1997 et Tokyo X Erotica en 2001) aux films plus conventionnels dans des genres très différents : science-fiction avec Moon Child (2003), action avec Pandemic (2009) ou drame avec Heaven's Story (2010). Avec The Chrysanthemum and the Guillotine, sélectionné en compétition au Festival Kinotayo, Zeze s'intéresse à deux sujets a priori très éloignés : le sumo féminin et le mouvement anarchiste dans le Japon des années 1923-1924, juste après le séisme de Kanto qui détruisit notamment Tokyo. Rencontre avec l'actrice principale, Kiryu Mai.