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Mot de passe oublié ?
L'année cinématographique coréenne n'aura pas été l'une des plus enjouée et romantique. De The Strangers au Dernier train pour Busan en passant par Man on High Heels, les occasions de s'attendrir se faisait plutôt rares, y compris au sein de la nouvelle édition du Festival du Film Coréen à Paris où bons nombres de films possédaient une dimension sociale très prononcée un brin dépressif. Kissing Cousins constitue cependant, et contre toute-attente, l'une des rares exceptions à la règle et aurait très bien pu rejoindre la sélection de comédies romantiques que le Festival avait organisée l'an dernier.
Dire que l'on attendait le nouveau film de Kim Seong-hoon avec impatience tenait de l’euphémisme, tant son précédent long métrage Hard Day nous avait enthousiasmés. Il était donc naturel de retrouver Tunnel à la programmation de cette nouvelle édition du FFCP (Festival du Film Coréen à Paris) qui débutait avec ce film de catastrophe sa deuxième décennie de projections. Une édition qui s'est ouverte sous les meilleures augures, et qui a autant ravi les membres de la rédaction d'East Asia que le public du festival. Rencontre avec le réalisateur !
Après une excursion américaine peu glorieuse et une collaboration oubliable avec Arnold Schwarzenegger (Le Dernier Rempart - 2013), on attendait fébrilement le retour de Kim Jee-woon dans son pays natal. Son nouveau film The Age of Shadows nous rassure dès sa scène d'introduction : le réalisateur coréen n'a rien perdu de sa virtuosité.
Munie d'une unique valise, une jeune SDF arrive à Busan où elle espère dégoter un petit boulot. Après avoir trouvé une maison abandonnée pour y squatter, elle commence à parcourir la ville.
Soucieux de mettre chaque année à l’honneur un réalisateur émergent, le Festival du Film Coréen à Paris nous a permis lors de cette édition de découvrir Yoon Ga-eun à l’occasion de la sélection de son premier long-métrage, The World of Us, qui avait déjà fait un détour par la Berlinale en février 2016.
Après le remarquable Hope et l’acclamé The Throne, Lee Joon-ik plonge dans une vision lyrique de l’histoire coréenne à travers les dernières années de la vie du poète Yun Dongju. Il nous offre un film épuré mais touchant.