Les rumeurs allaient bon train ces derniers mois sur l'avenir du Festival du Film Asiatique de Deauville. La 17e édition ne verra finalement pas le jour. Explications.
Pendant nos pérégrinations deauvillaises, nous avions eu le plaisir de nous entretenir de nouveau avec Kurosawa Kiyoshi et de discuter de Real qui sort en salles aujourd'hui.
Disponible et réfléchi, Nakata Hideo a pris la peine de nous parler de son dernier film, Monsterz, qui sort au japon le 30 mai prochain, et que le Festival du film asiatique de Deauville proposait en avant-première mondiale lors de l’édition 2014. Pesant chacun de ses mots, le réalisateur de Ring et Dark Water est longuement revenu sur son travail au sein des studios, sur la situation du cinéma japonais et du tsunami de 2011. Interview.
Projeté en avant-première mondiale au Festival du film asiatique de Deauville, Monsterz de Hideo Nakata a réussi à faire l’unanimité… contre lui. Connu avant tout pour ses films d’épouvante, le réalisateur nippon revient aujourd’hui avec un thriller assez inepte, remake du film sud-coréen Haunters de Lim Min-suk, sorti en 2010.
Cette année, le Festival du film asiatique de Deauville a rendu hommage à Malani Fonseka, la « Reine du cinéma sri-lankais », actrice dans plus de 150 films depuis 1968. Elle a été récompensée à plusieurs reprises dans son pays et à l’étranger. En 1996, elle a notamment reçu le prix Wishwa Prasadini pour sa participation à l’essor de l’industrie cinématographique du Sri-Lanka. Trois films représentatifs des différentes périodes de sa carrière ont été présentés à Deauville.
Un homme et une femme, un plan fixe de 10 minutes (hop, un petit zoom !), des discussions inlassables, des bouteilles de soju et des cigarettes. Revoilà Hong Sang-soo dans son nouveau film, Our Sunhi, un petit bijou dans lequel l'art de la répétition et de la variation atteint des sommets.