A l'occasion de la projection de son premier long-métrage, The Artist: Reborn, au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), nous avons pu nous entretenir avec le jeune cinéaste Kim Kyoung-won.
A l’occasion de la projection de Jane, son premier film, et de deux de ses courts-métrages au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), nous avons eu la chance de nous entretenir avec le réalisateur choisi cette année pour la section Portrait, Cho Hyun-hoon.
La Semaine de la Critique est un peu le laboratoire de Cannes, la sélection d’où émergent les talents de demain. C’est là que l’on a pu découvrir cette année Oh Lucy!, le premier long-métrage de la cinéaste japonaise Hirayanagi Atsuko, tourné entre le Japon et les Etats-Unis avec un casting international, réunissant Terajima Shinobu et… Josh Hartnett ! Rencontre avec la réalisatrice alors que son film est présentée à la 12ème édition du Festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo en attendant sa sortie dans les salles françaises début 2018.
A l'occasion de la projection de son quatrième film au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), A Taxi Driver, nous avons eu la chance de nous entretenir avec le réalisateur qui règne sur le box-office coréen de cette année, Jang Hoon.
Du 12 au 15 octobre, s'est tenu au Japon le Kyoto International Film and Art Festival, un événement spécialisé dans toutes formes d’art, qu’il soit contemporain ou non. La projection de Karanukan de Hamano Yasuhiro, était l'occasion de revenir sur notre interview avec Gackt, qui effectuait son grand retour au cinéma avec ce rôle de photographe se ressourçant dans son île natale d'Okinawa après 14 ans d'absence sur les écrans. Rencontre avec la légende !
Elle fut la grande révélation de l'année cinématographique coréenne 2016. Son premier long métrage The World of Us, a reçu en Asie une moisson de récompenses. Yoon Ga-eun, lors sa présentation au FFCP, a enchanté les spectateurs grâce à la justesse de son regard sur l'enfance. Une réalité racontée sans ambages, ni artifices, mais filmée avec une bienveillance sincère pour ses jeunes personnages. Nous avons pu découvrir au cours de son portrait l'éclosion d'une jeune cinéaste, talentueuse et prometteuse, qui au fil de ses courts métrages jusqu'à son premier long, a fait preuve d'un regard singulier et d'un don particulier pour diriger ses acteurs précoces. Le FFCP a de nouveau souligné dans sa programmation l'émergence et l'importance de femmes cinéastes, qui au sein d'un pays et d'une industrie patriarcaux, parviennent à monter des films personnels qui montrent la société coréenne sous un autre jour. Yoon Ga-eun a quant à elle le profil de la jeune auteure susceptible de séduire le grand public. Espérons que les distributeurs français auront suffisamment de flair et de courage pour la révéler. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec elle.