De Bhuvan Shome, objet cinématographique curieux et expérimental qui lui a offert une reconnaissance internationale, à Suddenly, One Day, aboutissement léché et absolument maîtrisé de plus de vingt ans de carrière, la plateforme Mubi nous propose de découvrir le cinéaste bengali Mrinal Sen en quatre films marquants.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur ses dernières lectures et découvertes cinématographiques et artistiques.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Anima, film chinois de Cao Jingling produit cet année.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent la sélection de cette année du festival Nippon Connection, qui s'est tenu en ligne au début du mois de juin. The Promised Land-2020: Takahisa Zeze Voice in the Wind-2020: Nobuhiro Suwa Red Post on Escher Street-2020: Sono Sion Kudakechiru tokoro o misete ageru-2020: Sabu
Les Esprits maléfiques du Japon est le troisième long métrage de fiction de Kuroki Kazuo. Distribué en 1970, c’est un film de yakuza crépusculaire et une capsule temporelle inestimable de la contre-culture japonaise de l’époque.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Kitano Takeshi et Anno Hideaki à travers les deux documentaires qui leur sont consacrés.