Après notre compte rendu des courts métrages (lire ici) qui s’est avéré très prometteur pour l’avenir du cinéma taïwanais, East Asia s’attaque au plat de résistance avec les quatre projections du Taiwan Cinefest qui ont eu lieu au cinéma La Clef les 18 et 19 mai. Une ambiance conviviale et un panorama du cinéma contemporain taïwanais pas dénuée de défauts mais pas exempt de talents non plus ! Par Julien Thialon.
Le jeudi 17 mai se tenait à Paris dans les locaux de l'Institut d’Études Supérieures des Arts (IESA) un concours de nouveaux talents taïwanais à travers 10 courts-métrages dont le vainqueur s'est avéré être Reflection de Chuang Ching-Shen. Une opportunité pour East Asia de découvrir et partager avec vous ce cinéma si méconnu en France hormis TSAI Ming-Liang, ANG Lee, le défunt Edward YANG (auteur du chef-d’œuvre Yi Yi) et HOU Hsiao Hsien. Autant dire dès le début, que nous n’avons pas été déçus, loin de là ! Par Julien Thialon
Le Festival du cinéma chinois en France nous revient pour sa deuxième édition. La programmation de l'an dernier se démarquait par une sélection de titres populaires s'éloignant des inconditionnelles sorties chinoises dans les salles françaises. Si en France, cinéma chinois rime avec cinéma social aussi bon soit-il, au budget généralement peu élevé (Jia Zhang Ke, Wang Quan'An...), il est en revanche beaucoup plus rare de voir dans nos salles les derniers succès populaires issus de la République Populaire de Chine. Pas de revirement de politique pour cette deuxième édition, qui continue à explorer le cinéma populaire du cinéma chinois contemporain. Un point donc sur les long métrages présentés, hors films d'animation. Par Anel Dragic
Chaque année la Maison des Cultures du Monde ouvre ses portes pour une pléiade d’artistes de tous les domaines dans le cadre du Festival Imaginaire. Le 19 et 20 mai, l’Inde était à l’honneur avec une des formes artistiques les plus prisées sur la scène contemporaine. Vidha Lal et six musiciens de musique traditionnelle hindoustanie ont offert au public parisien un voyage vers le monde mythologique et fantasque de l’Inde à travers le kathak et le khyal. Par Alexandra Bobolina
Gu Changwei fait partie de la « cinquième génération » du cinéma chinois. Dès ses tout premiers pas son talent est reconnu en Chine et ailleurs. Directeur de la photographie, il travaille avec Chen Kaige, Zhang Yimou, Jiang Wen sur Adieu, ma concubine, Les Démons à ma porte, Qiu Ju, une femme chinoise, parmi d’autres. C’est donc avec joie que nous le rencontrons à Paris, à l’occasion de la première française de son L’Amour eternel au Festival du cinéma chinois en France. Par Alexandra Bobolina.
Retour sur les premiers films inédits du cinéaste découverts lors de sa rétrospective à la Cinémathèque Française. Par Frédéric Rosset.