Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd'hui ses réflexions sur Godzilla: Minus One de Yamazaki Takashi.
Si le retour du plus grand cinéaste contemporain domine sans surprise notre classement de l’année, 2023 aura surtout été marquée par la confirmation du talent de jeunes cinéastes : Anthony Chen, Davy Chou, Jung July, Loi Cheang… ou Pham Thien An qui livre un premier film déjà stupéfiant. On a ainsi plaisir à voir cette génération côtoyer des voix plus confirmées comme celle de Kore-eda, voir déjà les dépasser (Hong Sang-soo ou Kim Jee-woon ratent de peu cette année notre classement). Bonne année et bons films !
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il se déplace en Corée pour nous livrer ici ses réflexions sur About Kim Sohee de July Jung en compagnie de sa réalisatrice et de Pascal Bonitzer.
Esquisser un portrait par définition non exhaustif d’un tel géant est en soi comme escalader le mont E… Fuji. À cloche-pied. East Asia a toutefois décidé de profiter d’une époque bénie : celle de profiter, de son vivant (et du nôtre), d'une nouvelle œuvre du maître de l’animation mondiale. Cerise sur le gâteau, Le Garçon et le Héron sort très bientôt sur les toiles blanches de l’Hexagone : une occasion parfaite pour revenir sur la carrière du maître.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur dernier film de Miyazaki Hayao : Kimitachi wa Do Ikiru ka?.
Juste sous vos yeux : un dialogue entre Eunkyung Shin et Stephen Sarrazin (lire l'avant-propos) ici autour de deux films : La Femme qui s’est enfuie (2020) de Hong Sang-soo et The Housemaid (2010) de Im Sang-soo.
Posté le 10 août 2023 par Stephen Sarrazin
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur dernier film de Miyazaki Hayao : Kimitachi wa Do Ikiru ka?.