La collection Blaq Market de chez Blaq Out a mis les petits plats dans les grands pour nous offrir un beau coffret contenant deux films du réalisateur japonais Tsukamoto Shinya : Fires on the Plain et Tetsuo 3 !
Le cinéaste japonais Kore-eda Hirokazu est un habitué du Festival de Vesoul (nous l'avions rencontré pour un long entretien en 2014 à voir ici). Il faut dire que ces dernières années, il a beaucoup tourné : Tel père, tel fils en 2013, Notre petite Sœur en 2015 et maintenant Après la tempête, qui ouvre 23ème Festival International des Cinémas d’Asie (FICA) de Vesoul !Texte de Elvire Rémand. Interview de Victor Lopez.
Paris Images Cinéma – L’industrie du rêve nous offre le jeudi 26 janvier la projection de Jusqu’à mon dernier souffle, le chant du cygne de l’illustre Yash Chopra, grand bretteur de la romance indienne devant l’éternel. L'occasion idéale de revenir sur sa carrière !
En 2017, le Festival Kinotayo a programmé Artist of Fasting, le nouveau film de Masao Adachi, figure atypique du cinéma mondial, connu pour ses films subversifs des années 60 et son engagement dans la lutte armée au Proche-Orient. Retour sur une carrière singulière et radicale.
Présenté à Un Certain Regard au Festival de Cannes 2016, Harmonium, le nouveau film de Fukada Koji, ne nous avait pas laissés indifférents. En salles le mercredi 11 janvier, le nouveau film de l'auteur de Au Revoir l'été confirme l’émergence d'un immense cinéaste, dont l'univers singulier allie réelle maîtrise formelle et mélange des genres étonnant. Retour sur le film et rencontre avec son réalisateur par Elvire Rémand et Victor lopez.
L’atmosphère a changé autour du cinéma en Corée du Sud. Cela se voit dans les salles, dans les statistiques, dans les revues de presse aussi bien que dans les festivals internationaux. On s’attendait à autre chose vu que la double année franco-coréenne battait son plein. Mais à part des hommages concoctés de manière théorique sans beaucoup d’effets sur le terrain – comme en octobre 2015 au festival de Busan -, les films français n’ont pas spécialement brillé. Par contre, les films sud-coréens avaient fait parlé d’eux au dernier festival de Cannes, et je doute que ce soit une affaire liée à la célébration de l’année franco-coréenne. Il s’agit plutôt d’un changement en profondeur de l’économie du cinéma en Corée du Sud. Car, en fait, c’est du côté américain et sud-coréen que le cinéma a le plus évolué.