Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, zoom sur un festival incontournable au Japon : le Tokyo Filmex.
Miyazaki, Oshii, Rintaro, Otomo … Des auteurs majeurs de l’animation japonaise, dotés d’un univers et de thématiques forts et personnels qui s’imposèrent progressivement au Japon puis à une reconnaissance mondiale. En l’espace de quatre films, Satoshi Kon était devenu l’égal en tout point de ces icônes vivantes et alors que sa carrière s’apprêtait à emprunter un nouveau cycle passionnant, le sort (soit, pour être plus précis, un cancer foudroyant ne lui laissant aucune chance) en a décidé autrement. Alors que le cinéma Le Brady organise une rétrospective autour du regretté cinéaste, portrait à l'occasion de la sortie en salles de Perfect Blue.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder "ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus". Ce mois-ci, hommage à Osugi Ren, décédé le 21 février 2018 dernier d’une insuffisance cardiaque aiguë, à l’âge de 66 ans.
Retour sur l'épopée du studio de Miyazaki Hayao et Takahata Isao, alors que l'on apprend la disparission de ce dernier, co-fondateur de Ghibli.
Après Outrage 2 il y a quelques semaine, la nouvelle plateforme de VoD e-cinema.com propose depuis le vendredi 23 février un second film japonais : l’horrifique Monsterz de Nakata Hideo. L'occasion idéale pour replonger dans cet inédit de 2014 que nous avions évoqué avec son réalisateur lors de sa présentation au Festival du Film Asiatique de Deauville.
Tous les seconds mardis du mois, Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder "ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus". Ce mois-ci, retour sur l'évolution du cinéma de Kawase Naomi à la lumière de son dernier film.