Pour la nouvelle année, Mubi a concocté un focus sur le réalisateur japonais Kobayashi Masaki. On commence cette mini-rétro avec Hara-kiri, un grand classique du chanbara.
Sur Henri, la plateforme de La Cinémathèque française, nous pouvons accéder pour quelques semaines encore à une salve de films de jeunes réalisateurs japonais, dans le cadre du cycle Japan Fringe. Sortis après 2011, année du tsunami et de Fukushima, ils témoignent des aspirations de ces cinéastes contemporains après cet événement chaotique, source de fortes inquiétudes. Intéressons-nous ici à Out There de Ito Takehiro, film expérimental à la frontière de toutes les formes, qui transcende le questionnement intérieur de toute une génération.
De Bhuvan Shome, objet cinématographique curieux et expérimental qui lui a offert une reconnaissance internationale, à Suddenly, One Day, aboutissement léché et absolument maîtrisé de plus de vingt ans de carrière, la plateforme Mubi nous propose de découvrir le cinéaste bengali Mrinal Sen en quatre films marquants.
L'énorme succès de Squid Game aura au moins eu l'avantage de mettre un coup de projecteur sur les précédents projets de son créateur, dont Silenced, deuxième long-métrage de Hwang Dong-hyeok, désormais disponible sur Netflix. Inspiré d'une affaire d'abus sexuels sur des enfants sourds et muets dans une école spécialisée de Gwangju au début des années 2000, le film ne recule devant rien, pas même le plus insoutenable, pour servir son sujet avec puissance et détermination.
Profitez de vos 30 jours gratuit de visionnage ici pour découvrir la sélection asiatique de Mubi pour le mois de janvier !
La Cinémathèque française propose sur sa plateforme Henri une sélection Japan Fringe, portant sur le cinéma japonais post-Fukushima. Parmi ces œuvres, nous trouvons le premier film du réalisateur Sugita Kyoshi, A Song I Remember, sorti initialement en 2011.