Lucile, amour et Rock'n'roll, aka Embrasse moi Lucile, qui a fait la joie des enfants de la génération de Youpi ! L'école est finit puis du Club Dorothée, débarque en DVD !
Fan depuis ma tendre enfance des Fous du volant (Wacky Races) avec en pilotes fétiches les deux tordus Satanas et Diabolo, lorsque j’ai eu le plaisir de découvrir que Madhouse, l’un des plus grands studios d’animation japonais contemporain à qui l’on doit des perles à la télé et au cinéma comme, entre autres, Summers Wars, Perfect Blue, Rémi sans famille, Gen d’ Hiroshima ou encore Master Keaton, allait réaliser un film sur des courses automobiles futuristes ultra-violentes dans un monde à mi-chemin entre western spaghetti et cyberpunk , mon sang n’a fait qu’un tour. Alors pour un tour de piste, attachez vos ceintures et à fond les manettes ! Par Olivier Smach.
Quand dans la programmation du Festival Franco-Coréen du film, on avait aperçu Invasion Of Alien Bikini, l’impatience de voir un bel ovni de série Z était très grande. Réalisé avec pratiquement rien, le film tient-il toutes ses promesses ? Par Jérémy Coifman.
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Un premier film de (bien) plus de trois heures réalisé par un important critique coréen ? Esbroufe ou ambition esthétique démesurée ? Certainement un peu des deux : un film d'un interminable prétention, que quelques trop rares moments de grâce n'arrivent pas à rattraper. Par Victor Lopez.
Le premier long métrage de Yoon Sung-hyung faisait parti des films les plus attendus du Festival, en raison d'une réputation flatteuse et d'une mise en avant exceptionnelle ! Et bonne nouvelle, la révélation Bleak Night n'a pas déçu ! Par Victor Lopez.