Cinq ans après le remarqué Un Printemps à Hong Kong, Ray Yeung revient sur nos écrans grâce à Nour Films, pour parler de la société hongkongaise, et en particulier du regard porté sur les couples de même sexe avec Tout ira bien. Dans sa nouvelle variation, après le couple d'hommes vieillissants, il s'intéresse à l'histoire d'un couple de femmes d'âge mûr, Angie et Pat, et aux conséquences que peut avoir le fait de nommer ou de ne pas nommer une relation.
Eurozoom distribue en salles cette semaine Totto-Chan, la petite fille à la fenêtre de Yakuwa Shinnosuke, adaptation d'un classique de la littérature enfantine au Japon, et poignante évocation du Japon belliqueux des années 40 à travers le regard naïf d'une enfant.
Après le très attachant Jésus (2018), le jeune réalisateur Okuyama Hiroshi revient avec My Sunshine, distribué par Art House, beau récit d'apprentissage aux antipodes des poncifs du récit sportif.
La mouture restaurée 4k de 2046 du grand Wong Kar-wai ressort en salles ce mercredi 18 décembre 2046 via The Jokers. Replongeons-nous dans cette fable un pied dans le passé, un pied dans le futur de Hong Kong...
A l'occasion de la sortie de son troisième long-métrage, le délicat Shambhala, le Royaume des cieux, distribué en salles depuis le 4 décembre par Epicentre Films, le réalisateur népalais Min Bahadur Bham a accepté de se soumettre au jeu des questions-réponses.
À la croisée de l’étude ethnographique et de l’énigme spirituelle, le réalisateur népalais Min Bahadur Bham filme avec une grande humanité la vie quotidienne d’un peuple d’agriculteurs de l’Himalaya. À travers le voyage - littéral comme figuré - d’une jeune épouse à la recherche de son mari, Shambhala, le Royaume des cieux ouvre une fenêtre sur un autre rapport au monde qui ne laisse pas de surprendre et d’interroger. Distribué par Épicentre Films, le long-métrage est en salles ce 4 décembre.