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En ce mois de juillet, on ne compte plus les sorties asiatiques. Depuis hier, vous pouvez découvrir dans les salles obscures un film kazakhstanais réalisé par Yerlan Nurmukhambetov et Takeba Lisa, Les Voleurs de chevaux. Une échappée dans les plaines kazakhes qu'il ne faut pas rater.
Avec Les Sorcières de l’Orient, qui sort aujourd'hui en salles après des passages en festivals, Julien Faraut revient sur l’épopée de joueuses japonaises de volley-ball. Une épopée qui les mènera de l’usine à leur victoire aux Jeux Olympiques de 1964. Un documentaire qui mélange les images d’archives, les souvenirs de cinq joueuses maintenant septuagénaires et des extraits d’un dessin animé inspiré de leurs exploits sportifs.
Sans conteste, Kawase Naomi compte aujourd’hui comme l’une des réalisatrices dont l’œuvre, d’une permanence tranquille, résiste le mieux aux aléas des modes, en explorant à chaque fois, à pas feutrés, les zones d’ombre de ses contemporains. Elle orchestre avec sa douceur coutumière, pour son 14ème long-métrage, True Mothers, une exploration de l’adoption. Et c'est en salles aujourd'hui.
Le 21 juillet est ressorti en salles l'indémodable In the Mood for Love réalisé par Wong Kar-wai, 20 ans après sa sortie initiale. Une occasion unique de découvrir ce film, en version restaurée 4k.
En 1998, le public français pouvait découvrir au cinéma Le Festin chinois de Tsui Hark. Pour notre plus grand bonheur, le film ressort en salles cette semaine !
Pour son deuxième long-métrage, film d'ouverture d'Un Certain Regard à Cannes cette année, l'auteur du beau Diamant noir fait le pari du dépaysement. Une réussite.