Il est des protagonistes du cinéma asiatique que l'on ne présente plus et Jackie Chan est définitivement de ceux-là. La star martiale de Hong Kong a néanmoins, depuis quelques années, baissée en estime dans le cœur des fans. Avec une carrière US plus calamiteuse qu'autre chose, voilà que désormais Jackie se lance à l'assaut du marché mainland. Par Anel Dragic.
La World Cinema Fondation parrainée par Martin Scorcese tente de mettre en lumière et de sauvegarder bon nombre de films presque oubliés, en voie de disparition. Dans le magnifique coffret édité par Carlotta paru au mois d’avril, un film nous intéresse : La flûte de roseau, troisième film du réalisateur kazakh, Ermek Shinarbaev. Par Jérémy Coifman.
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Si le talent ne se transmet pas par l'hérédité (Lamberto Bava aurait eu une carrière bien différente, si cela avait été le cas), poser les yeux sur un film avec à son casting le fils de Steven Seagal ne peut que donner envie ! Et quand à ses côtés se trouve le très poseur Sakaguchi Tak, l'amateur de bisserie décomplexée ne peut qu'être aux anges ! Par Yannik Vanesse
La Disparition d’Haruhi Suzumiya (Suzumiya Haruhi no Shōshitsu) est un film d'animation faisant suite à la série La Mélancolie d’Haruhi Suzumiya (Suzumiya Haruhi no yūutsu) tout en étant la fidèle représentation du quatrième roman éponyme de Nagaru Tanigawa. Le visionnage de ce long métrage est fortement conseillé aux personnes ayant visionné préalablement les deux saisons de l’anime ou la lecture des trois premiers romans afin d’avoir les pré-requis indispensables à la compréhension de l’intrigue. Par Julien Thialon.
Dante Lam, réalisateur hongkongais très connu (de The Twins Effect, entre autres) revient avec The Beast Stalker, renommé The Crash à l'occasion de sa sortie chez Wild Side. Un polar de Hong Kong est certes toujours attirant, mais parfois certains se suivent et se ressemblent. Est-ce que ce sera le cas de celui-ci ? Par Yannik Vanesse.