Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Un premier film de (bien) plus de trois heures réalisé par un important critique coréen ? Esbroufe ou ambition esthétique démesurée ? Certainement un peu des deux : un film d'un interminable prétention, que quelques trop rares moments de grâce n'arrivent pas à rattraper. Par Victor Lopez.
Le premier long métrage de Yoon Sung-hyung faisait parti des films les plus attendus du Festival, en raison d'une réputation flatteuse et d'une mise en avant exceptionnelle ! Et bonne nouvelle, la révélation Bleak Night n'a pas déçu ! Par Victor Lopez.
Après Sunny en ouverture, qui avait tout du Feel Good Movie teinté de mélancolie, c’est au tour de Castaway On The Moon de Lee Hae-jun de se dévoiler à nous. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne laisse pas le spectateur indifférent. Avec ses 1 millions de curieux en Corée du Sud à sa sortie en 2009, le film avec son pitch improbable intrigue... Par Jérémy Coifman.
Sunny, ce n’est pas seulement le film qui a attiré 7 millions de ménagères dans les salles coréennes cet été, c’est aussi une tragi-comédie colorée, parfois touchante et souvent enthousiasmante ! Par Victor Lopez.
Avec The Fourth Portrait (Le 4ème Portrait), mélodrame social et tendre teinté d’humanisme, Chung Mong-Hong s’impose après Parking comme un réalisateur phare de la relève taïwanaise, à ranger aux côtés de son acteur fétiche Leon Dai. Petite présentation du film en ce jour de fête national à Taïwan pour patienter jusqu’à sa distribution dans les salles françaises, au début de l’année 2012 par Héliotrope Films. Par Victor Lopez.